1. L'hôtel (1)


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... aperçut. — Ça t’excite, hein , puta !Les françaises sont des belles salopes ! Je ne répondis rien, à quoi bon ? Mais mes réflexes furent alors malheureux : J’écartai davantage les cuisses. Il rigola puis il s’approcha en posant une main sur mon genou relevé tandis qu’il branlait frénétiquement sa grosse bite maintenant extra-large. Sans me demander, sans que je ne l’en empêche, il posa son gland sur mon minou et il me pénétra avec fougue puis il me pilonna la chatte comme une pute… je voyais mes escarpins au dessus de moi, mes cuisses largement ouvertes et ce type immonde et vieux me pénétrer comme un fou en bavant… je lâchais prise : — Vas-y, baise moi comme une...puta ! Il jubila... Il me défonça avec une violence incroyable et le plaisir monta en moi en flèche. Totalement époustouflée par une jouissance que je ne connaissais pas, je le laissai se tendre et hurler en éjaculant dans ma chatte. Je criai moi-même, en transe, soumise, conquise par cette puissance incroyable de mon baiseur. Il recula ensuite, heureux, hilare. Il contempla son jus dégouliner de mon trou béant. — C’est pas fini, puta ! Je pensais alors qu’il allait m’enculer… mais non. Il attrapa son portable et il appela quelqu’un. Il parla en espagnol et je ne compris pas un traître mot de la conversation mais cela était bien joyeux, dans le ton en tout cas. Xavier ? Rien à faire à ce moment-là. j’étais...conquise par cette situation sordide, ma condition de salope, disons-le ! Je venais de jouir et j’attendais ...
    ... plus. Bien plus. Cette queue énorme et luisante de son sperme et de ma mouille avait déclenché un truc en moi...inexplicable ! — Tu vas aller voir José dans sa chambre... Mon cœur passa d’un coup à deux cents. Le truc impensable, horrible...Alors je me levais, électrique... et j’obtempérai. Le jus du type dégoulinait sur mes cuisses quand je quittai la chambre, chancelante. Mes escarpins me donnaient la démarche d’une vraie pute qui allait au taf… j’eus un regard inquiet, à peine une seconde, vers notre chambre. Le type derrière moi me suivait, hilare. Il frappa lui-même à la porte de José qui ouvrit aussitôt, excité. Simplement vêtu d’un slip, bedonnant, la soixantaine, il regarda avec gourmandise mon corps offert que je ne tentais plus de cacher. Il parla en espagnol à mon baiseur, ils explosèrent de rire puis il me fit signe d’entrer. Mon baiseur rentra dans sa chambre en m’abandonnant comme une poubelle sur le trottoir. j’étais nue, en émoi…. l’homme baissa son slip et une grosse bite poilu se dressa. Il exigea par des gestes explicites que je me mette à genou et que je le suce. j’obéissai encore. Je pompai cette grosse queue en écartant les cuisses comme une salope. l’homme accéléra la cadence et il me défonça la bouche. En un instant, il me souleva par les épaules et il me jeta sur le lit ; il me positionna sans résistance de ma part en levrette et son gros gland entra d’un coup dans ma chatte déjà bien lubrifiée. Il s’acharna dans mon intimité en gueulant en espagnol, ...
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