1. L'hôtel (1)


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... trouve un responsable de l’hôtel afin qu’on m’ouvre ma chambre… en tout cas, je ne voyais que cette possibilité tant Xavier dormait comme un loir… j’aurai pu le croire en tout cas, j’aurai pu essayer à nouveau de frapper pour le faire réagir mais ce que je venais de vivre, ce long couloir, l’étage en dessous avant d’atteindre l’accueil… J’aurai pu, aussi, ôter mes escarpins, ne plus faire ni bruit ni putain… non ! Mon cul se tortilla encore vers l’étage inférieur, la honte et l’excitation pour seules valeurs à cet instant. Au bout du couloir de l’étage inférieur, un silence tout relatif me happa. J’entendais en bruit de fond comme des chants, des cris joyeux… je fis quelques pas, curieuse et attentive. Cela provenait d’une chambre au milieu du couloir. j’en étais si loin et si proche à la fois. Puis là...l’horreur...la porte s’ouvrit et une quinzaine de mecs, noirs comme des sénégalais et en tenue de rugbymen, mais à moitié débraillés, en sortirent en chantant, formant une chenille humaine fortement alcoolisée qui me tourna le dos et fila vers l’autre bout du couloir. On ne m’avait pas vue ! Je reculai lentement...Puis la chenille fit demi-tour et elle revint vers moi… et le silence tomba… comment vous expliquer cela ? Cela donnait une petite nana, blanche et adorable, ruisselante de foutre, nue, en escarpins, face à plus de quinze gaillards africains hilares. Ils hurlèrent de joie, ils m’entourèrent en dansant. Puis des bites apparurent. On ne me força à rien...je tombais à ...
    ... genoux toute seule, comme une grande. Et je fis la pute. Je suçais toutes ces bites avidement. On me releva et on me jeta sur le lit d’une chambre. On écarta mes cuisses et je vis avec bonheur un gros gourdin d’un de ces athlètes entrer en moi comme dans du beurre sous les vivats des autres qui n’hésitèrent plus à me faire sucer leurs queues devenues énormes. Les maillots qui traînaient sur le lit étaient floqués aux couleurs d’une équipe – effectivement - sénégalaise qui devait participer au tournoi de rugby en ville. Je n’en savais foutrement rien, qu’ils pratiquaient le rugby là-bas mais tous ces types se succédèrent dans ma chatte sans arrêt, longuement, très, très longuement, et ça, c’était pas du sport de gonzesse ! Ils étaient fous de joie, hilares de baiser une française. Ils se parlèrent en riant, en me faisant couiner de plaisir, en râlant eux-mêmes quand ils déversèrent un à un en moi le jus épais de leurs grosses couilles. Mon cul resta ouvert entre chaque bite. La puissance de feu de ces hommes laminait mes chairs et mes sens. Plusieurs fois, je hurlai de jouissance… remplie et couverte de foutre, je fus libérée au bout de quatre heures environ. Ils se moquèrent de ma démarche mal assurée quand je pus enfin m’extraire de leurs mains joueuses. Doigtée et "obligée" de sucer dans le couloir deux joueurs qui avaient encore du jus de couilles à me faire boire, je reprenais ensuite ma quête vers l’accueil. Mon but était resté le même : Entrer dans ma chambre et dormir… ...
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