La poupée folklorique
Datte: 08/04/2021,
Catégories:
jeunes,
alliance,
nympho,
grosseins,
fépilée,
amour,
Oral
exercice,
fantastiqu,
initiatiq,
extraconj,
... déboutonna son corsage et le laissa tomber à terre : Lucie dissimulait une généreuse poitrine avec ses bras joints. — Vous m’apprendrez à m’habiller ?— Nous y serons obligés. Elle avança vers la cabine de douche. Sébastien fuit le jeu d’hypnose de ces fesses nerveuses. — Laissez-moi. Elle détacha ses cheveux qui tombèrent jusqu’au milieu de son dos. Ce fut la dernière image permise, avant qu’il ne quitte la salle de bain. Sébastien rejoignit la chambre où avait logé sa femme. Il récupéra un shorty noir, un soutien-gorge, un jean taille 40, mais pour le haut, il préféra sa propre garde-robe et l’une de ses grosses chemises de bûcheron canadien. Il entra à nouveau dans la salle de bain, l’eau s’écrasait au fond de la douche. Le regard de Sébastien fuit la silhouette de Lucie. — Je vous ai trouvé quelques habits de rechange, ce sont ceux de ma femme.— Vous pouvez venir s’il vous plaît ? Naïf, Sébastien avança vers la cabine… Lucie était de dos, elle dissimulait encore sa poitrine et elle tourna la tête pour le regarder par-dessus sa frêle épaule : — Je voudrais être parfaite : pouvez-vous me frotter le haut du dos et les épaules, s’il vous plaît ? Je n’y arrive pas. Humain, il détailla la chute de reins et ses fesses. Ses petits doigts de pieds se crispaient dans la vasque comme pour rechercher l’équilibre. Lucie lui tendit le gel-douche. Il en versa au creux de sa main, le fit mousser, avant de déposer ses doigts sur les multiples gouttes d’eau qui perlaient sur sa peau ...
... tiède. Alors qu’elle replaçait sa longue crinière sur sa poitrine, Lucie sursauta : — Oh !— Qu’y a-t-il ? Sa réaction à la douceur était la fuite… comme si les doigts de Sébastien étaient terminés par des épines. — Vos doigts sur ma peau… C’est toujours étrange… Sébastien s’obstina et elle se fit moins revêche. Il s’appliqua à lui frotter délicatement le dos. Lucie pencha la tête pour savourer ce contact… — Je sens comme des ondes parcourir mon dos, l’intérieur de mon corps et mon ventre. Sébastien sut où s’arrêter et soudain, elle poussa quelques petites quintes de rire… — Ne bougez pas, Lucie.— Non, c’est vraiment bizarre ! Elle se retourna face à lui, ôta ses bras et il fut pétrifié par la vision que lui concédait la poupée russe. Sa poitrine lourde et dressée était chapeautée par de larges aréoles claires. — Regardez Sébastien ! J’ai mes bouts de seins tout durs ! En effet, les tétons de Lucie saillaient impertinemment. — Je suis une vraie femme maintenant ! Sébastien ne voyait que cette paire de seins lourds et innocents. — Que se passe-t-il, Monsieur ? Sa poitrine l’hypnotisait encore et il se mura dans le silence. Lucie mordit sa lèvre inférieure et baissa les yeux. — Je vous ai froissé ?— Non ! J’ai déposé vos habits sur la chaise. Il profita du silence qu’elle lui opposait, pour quitter la pièce et descendre dans le salon. Nerveusement, Sébastien faisait les cent pas dans le salon. Il réalisa qu’il n’avait pas une seule fois bandé devant cette femme nue et désirable. ...