13 déclics pour une nouvelle vie (7)
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
Transexuels
... mon père. Mais ainsi soit-il. Sa présence me rassure. Alors je m’active. Le train habituel : je sors sa bite de son pantalon, je le suce, puis je lui tourne le dos et j’attends qu’il me prenne. « C’est à ça que j’aurai le droit avec toi, me demande mon père ? Tu vas te mettre à quatre pattes et attendre que je te fasse jouir ? — Qu’attends-tu de moi au juste ? — Que tu sois une bête de sexe ! Donne un peu de ta personne, sinon je n’ai aucun intérêt à te garder ici. » La même remarque que celle de mon inconnu du van… Je suis donc bel et bien une mauvaise baiseuse, et mon apparence post-chirurgie n’est qu’une façade qui ne suffit pas à contenter un baiseur tel que mon père. « Bon allez, j’y vais, reprend mon père. Mais sache que je suis très déçu de toi. Devenir une trans et être un mauvais coup au pieu, je me demande vraiment quelle est ta place dans la société. » Et il claque la porte sans même un au revoir, me laissant seule face à ma réflexion. Donc selon mon père, on ne peut être transsexuelle et faire autre chose que baiser. Pas étonnant de la part d’un homophobe tel que lui. Mais ça reste mon père, je l’aime et je n’ai plus que lui dans ma vie. Je vais donc faire de mon mieux. Je ne bouge pas du petit studio de mon père. Je l’attends de pied ferme dès le lendemain, prête à ‘donner de ma personne’, comme il dit. Mais il ne vient pas. Ni le surlendemain. Ce n’est qu’au bout de huit jours, alors que je ne m’y attends plus, qu’il vient. Je me jette alors à son cou, et je ...
... l’embrasse fougueusement, mais il me repousse aussitôt. « Hé doucement, m’interrompt-il, je n’embrasse que les femmes dignes de ce nom. Contente-toi d’être une bonne putain et de me faire jouir. » Je n’ai pas réussi à le faire jouir. Il a fini par se branler et est reparti mécontent de moi, pour ne revenir que deux semaines après. Et là encore, j’ai été mauvaise. Je ne suis vraiment pas à la hauteur d’un bon baiseur tel que lui. Ses visites se font de plus en plus rares, hormis pour m’apporter des vivres toutes les deux semaines, mais il repart directement. ofzollak Je passe donc parfois jusqu’à un mois sans baiser, et sans voir personne puisque je n’ose toujours pas sortir. Je décide alors de me prendre en mains. Lors de sa prochaine visite, j’essaierai d’être vraiment à l’écoute de son corps. Cette visite arrive justement. Mon père entre avec deux gros sacs de course, les dépose à l’entrée, et s’apprête déjà à me quitter lorsque je le retiens par la main. « Désolé petite chienne en chaleur, mais je vais voir une femme qui sait me faire grimper aux rideaux. Comme tous les jours où je ne te baise pas d’ailleurs… Tiens ! c’est drôle d’ailleurs, cette femme est une collègue de ta mère, et elles se détestent. J’adore cette situation ! Ta mère n’a qu’à se lâcher au pieu. » Je trouve cela horrible pour ma mère. J’essaie de retenir mon père comme je peux. Mais comment retenir un tel mâle en rut ? Je descends alors doucement, caressant son torse jusqu’à m’accroupir et me trouver à ...