1. 13 déclics pour une nouvelle vie (7)


    Datte: 09/04/2021, Catégories: Transexuels

    ... hauteur de sa queue, que je dévoile et commence à lécher, lentement. C’est la première fois que je prends le temps de retenir mes ardeurs, que je ne prends pas une queue directement à pleine bouche. Je la parcours dans son intégralité, je m’attarde aussi sur ses couilles. Maladroitement, mais cela semble faire son effet puisque mon père ne cache pas son plaisir : « Hum… c’est ça, vas-y progressivement… hum… c’est pas mal… » Je m’efforce de ne pas engloutir sa queue, devenue bien raide. J’en ai pourtant très envie. Je la lèche, je la branle, je malaxe ses couilles, et je sens qu’il aime… Il me prend alors par les cheveux, et imprime de lents allers-retours à ma tête, le long de sa queue que je caresse de ma langue, avec douceur. Son étreinte dans mes cheveux se fait de plus en plus forte. Je sens la pression de ses doigts sur mon crâne. « Qu’est-ce que tu attends espèce de gourde, me lance alors mon père ? Tu ne vois pas que c’est le signal pour passer à la vitesse supérieure ? » D’accord, il en a marre de la douceur. Alors je peux me lâcher. J’agrippe ses de mes deux mains, je prends sa queue à pleine bouche, et je commence des va-et-vient de plus en plus rapides. Sa queue bute contre le fond de ma gorge, je n’arrive pas à tout prendre. Elle est un peu trop grosse. Je ferme les yeux et j’accélère le mouvement. « Ne ferme pas les yeux, sois une bonne salope reconnaissante et regarde-moi dans les yeux, me conseille-t-il. » Je fais ce qu’il me dit, et je vois qu’il prend du ...
    ... plaisir à me voir ainsi, les yeux humides cherchant son regard. Je dois avouer que j’éprouve moi aussi un certain plaisir dans cette situation assez humiliante. J’essaie d’avoir le regard le plus coquin, peut-être rendu encore plus ‘salace’ par mon mascara qui commence à couler. Après quelques minutes de ce traitement, je prends l’initiative de me lever et de pousser mon père sur le lit. Sur le dos, il m’attend. Et tel un félin rampant près de sa proie, je m’approche de sa queue pour reprendre de plus belle ma fellation. Quel bonheur je vis à cet instant ! J’en oublie tous mes déboires passés, il n’y a que lui, moi, et le vide complet. Je me redresse et me place à califourchon sur lui, et j’approche mon anus de sa queue. Bon sang ! Je suis toute humide et dilatée, pas besoin de gel ! Sa queue est très vite entièrement en moi, je redescends mon buste pour me trouver à plat ventre contre lui, les seins plaqués contre son visage. Il a l’air d’aimer ça puisqu’il les malaxe en plaçant sa tête entre deux, pendant que je m’emploie à onduler du bassin. Puis je me redresse et j’accélère le mouvement. A l’aide de mes cuisses et prenant appui de mes mains sur son torse, je saute littéralement sur sa queue. Mes seins se balancent, et je sens une certaine douleur car cela tire sur ma peau. Mais mon père les prend en mains, ce qui m’excite encore davantage. Je suis crevée, mais je ne lâche pas. Je quitte la position ‘à genoux’ pour passer la position ‘accroupie’, en appui sur mes pieds, je ...
«12...456...»