1. 13 déclics pour une nouvelle vie (7)


    Datte: 09/04/2021, Catégories: Transexuels

    ... peux donner ainsi davantage d’amplitude à mes mouvements verticaux. Mes seins ballotent de plus belle lorsque mon père lâche son étreinte. Je le vois pencher la tête en arrière et gémir, lorsque tout à coup : « Ouiiiii !! » Mon père me remplit le cul de sa semence, et je m’effondre sur lui, dans un cri de jouissance partagée. J’ai vraiment l’impression que nous avons été en osmose, tous les deux. Je m’allonge aux côtés de mon père pendant que nous reprenons nos esprits. Je ferme les yeux, perdue dans un vide intérieur total, quand soudain… je sens mon père parcourir mon corps de baisers. Aucun mot n’est échangé. Nous nous embrassons ensuite langoureusement pendant que mon père me caresse. Puis il quitte le studio, sans mot dire, l’air troublé. Qu’est-ce que c’était bon ! Vivement la prochaine séance, dans deux semaines lorsqu’il m’apportera les courses. Mais dès le lendemain, il revient me voir. Quelle surprise ! Et nous baisons comme des fous. Puis le surlendemain, puis le jour suivant, puis tous les jours. Et chaque jour, j’apprends de nouvelles choses avec mon père. Il m’apprend à être active, il m’apprend aussi à être excitante en étant dominée. Il assure en fait mon éducation sexuelle, avec les travaux pratiques, et je ne suis clairement plus la même. Il m’appelle Lisa. C’est le nom que j’ai choisi afin d’oublier Jessica et son passé douloureux. Je prends confiance en moi, et je m’assume désormais pleinement. Je sors même dans la rue désormais. Y compris le jour. Je ...
    ... fais mes courses, toutes ces choses du quotidien. J’utilise un compte bancaire que mon père alimente régulièrement. Au bout de deux ans de relations sexuelles quotidiennes et toujours aussi torrides avec mon père, que je ne considère plus comme un père mais bien comme un amant, une situation assez étrange s’est présentée à moi, à la caisse du supermarché. « Vous devriez avoir honte, madame, entends-je alors d’une voix aigrie, juste derrière moi. » Je me retourne alors, et je tombe nez à nez sur… ma mère ! « Vous devriez avoir honte de vous balader ainsi vêtue, en public. » Il est vrai que pour une femme qui ne s’assumait pas en public quelques mois plus tôt, je suis maintenant totalement dans la séduction, à tout instant et en tout lieu. « Vous êtes une salope, voilà ce que vous êtes, continue ma mère ! » Elle ne m’a pas reconnue, pas étonnant en même temps. Seul mon regard n’a pas changé, mais sous mon mascara et mes faux cils, il est méconnaissable. Elle me trouvait trop provocante, à son goût. Une robe décolletée rouge ultra moulante avec une ceinture noire pour bien dessiner ma taille, des bottes en cuire remontant jusqu’au-dessus du genou et aux talons aiguilles de 12 cm. Maquillage sombre sur les yeux, et rouge à lèvres assorti à ma robe, mettant en valeur mes lèvres pulpeuses, dont le moindre pincement signifie clairement ‘je veux de la bite’… Oui, je suis provocante. « Mêlez-vous de ce qui vous regarde, lui réponds-je gentiment, mais fière. — À quoi ça vous avance d’être ...
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