1. L'oxymore


    Datte: 10/04/2021, Catégories: fh, grp, couplus, extraoffre, inconnu, campagne, amour, volupté, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme jeu, aliments, glaçon, fouetfesse,

    ... avait posé une main de propriétaire sur son pantalon, pile sur la bosse, et il lui palpait les seins. Bernard glissa une main dans l’échancrure de mon corsage. Il voulut plus tard me faire constater qu’il bandait pour moi "comme un âne". Saugrenue, l’expression me fit rire. David et Caroline firent place à Nicolas qui voulait mettre la côte de boeuf sur les braises, pendant que mijotait la ratatouille. Bernard demanda à David de venir l’aider à porter les chaises et la table ronde qui étaient sous un hangar, et autour de laquelle nous serions mieux que sur les bancs devant la table de chêne. La côte de boeuf était bonne, la ratatouille aussi. Bernard, le mâle dominant de notre jeune tribu, me caressait la nuque, les épaules, la cuisse. Caroline était exubérante et ne parlait qu’à Nicolas, qui ne regardait jamais sa femme. Le vin de bourgogne aidant, chemisettes et corsages s’ouvrirent peu à peu. Quelques gouttes de sauce souillèrent le chemisier de Caroline. — Nicolas, elle tache, ta sauce ?— Ah, mais oui ! Il faut nettoyer ça tout de suite. Ils s’approchèrent de l’évier, se tenant par la taille. Très vite, Caroline se trouva en soutien-gorge. — Maintenant que mon chemisier est mouillé, je ne vais pas le remettre. Cela ne gêne personne, au moins ?— Bien au contraire ! Les pointes de ses seins étaient grillagées de dentelle rose. — Hé, les filles, vous n’allez pas me laisser seule en soutien-gorge ! Sylvie, enlève ton corsage, il est tellement transparent que tu vas faire ...
    ... exploser trop vite mon pauvre mari. Bernard était déjà en train de le déboutonner, mon corsage de soie. Mon soutien-gorge offrit donc la quasi-totalité de mes seins à la vue de chacun, aréoles pâles, tétons dilatés. Où était-il, le temps où je disais à David : je suis à toi, je t’appartiens… Foutaises ! Personne n’appartient jamais à personne. — Tu as des seins superbes, Sylvie, me dit enfin Nicolas.— Et les miens, comment vous les trouvez ? demanda Caroline. Nicolas, dégrafe mon soutif ! Sylvie, tu triches, enlève donc le tien pour nous faire voir si tes nichons tiennent tout seuls… Oui, pas mal, mais ils sont plus petits que les miens. Delphine ! Delphine glissa calmement ses mains derrière son dos, déboutonna le haut de sa robe qui tomba sur ses hanches. Son tout petit soutien-gorge était rouge. — David, tu veux bien… Il voulut bien, dégrafa l’attache de plastique, se pencha pour faire descendre les bretelles et déposa un petit baiser sur chaque téton. Comme avec moi, la veille encore. Mon indulgence me surprit. Ou mon indifférence. — Égalité des sexes, proclama bientôt Caroline. Torse nu, les hommes, montrez-nous comment vous êtes bâtis ! Puis en slip, garçons et filles, c’était inévitable. — Buvons à l’amour. Embrassez vos voisines. Debout, vous autres, enlacez-vous, ordonna Caroline. Qui veut de moi ? Bras ouverts et refermés sur un corps brûlant, verges rigides contre humides fissures. — Sylvie, quel est le garçon qui embrasse le mieux ?— Ton mari, Caroline.— C’est ...
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