Je suis marié
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
hh,
fhh,
hbi,
hplusag,
fplusag,
cocus,
Oral
pénétratio,
hsodo,
confession,
couple+h,
J’ai un peu honte de toutes ces idées préconçues, de ce racisme non avoué, du refus de la différence. Lorsqu’Abdou s’est présenté pour louer le petit studio, ma première idée a été de le refuser en trouvant une raison. Mais ma femme a trouvé les mots justes : « Il est envoyé par une association, il présente toutes les garanties financières et il n’a rien d’un loubard. » C’est vrai qu’à part sa couleur de peau, Abdou paraissait un brave garçon, en troisième année d’école d’ingénieur. Mais on ne se refait pas. Moi, j’avais le souvenir d’un voisin à ma résidence universitaire qui faisait un bruit d’enfer et refusait de comprendre que,moi, j’avais besoin de silence pour travailler et dormir. Bref j’ai cédé, me sentant coupable d’avoir eu ces idées d’un autre temps. Pourtant tout s’est bien passé. Il a payé son loyer régulièrement et ne nous a pas dérangés. Il faut dire que le studio n’est pas dans notre maison, mais dans une dépendance aménagée avec le confort et qui sert aussi de réserve pour les affaires de jardin et les équipements pour la piscine. Bref, rien à dire. Sauf que ce jour de fin septembre, il fait un temps magnifique et un rendez-vous annulé. Je rentre plus tôt. Rien de bien extraordinaire, à part que je veux me baigner et que la pompe de recyclage me signale un défaut. C’est un grand classique. Il suffit de deux gestes à faire sur le tableau de commande. Tableau qui est justement dans ce local. Je passe bien entendu devant la porte d’entrée de notre locataire ...
... que je découvre entrouverte. Il a dû partir rapidement ce matin, mais c’est sans conséquence, car le terrain est sécurisé avec des alarmes partout. J’hésite un instant pour la pousser, mais ne veux pas me mêler de ses affaires, d’autant qu’il est si discret que je le croise rarement du fait de son entrée personnelle. — Arrête de bouger, sinon je te claque ! C’est une voix puissante qui retient mon attention. Il doit regarder la télé. — Non, pas comme cela, pitié… Bizarre ; on dirait la voix de notre locataire. — Ne te plains pas, j’ai mis du gel. J’aurais très bien pu t’enfiler à sec, comme une pute au bois.— Mais c’est trop gros ! Tu vas me déchirer…— Un cul comme le tien a dû en voir des plus grosses. Tiens !— Ahhhhhh, j’ai mal…— Serge, fais-lui bouffer ta bite qu’il se taise un peu. Je commence à m’inquiéter. Un film porno ? Peut-être. Pourtant j’ai vraiment l’impression que cela se passe juste derrière cette porte. Une porte que… Non, je n’ai pas le droit de me mêler de la vie privée de mon locataire. Je vais partir, mais derrière la porte la voix reprend : — Abdou ? C’est bien cela. On va faire des photos et tout le monde verra qu’on a profité de toi, de ton cul et de ta bouche. Tu vas être la risée de ton école.— Non, pitié, pas cela ! Je ferai tout ce que vous voulez…. Pas de doute, c’est mon locataire. Il doit être victime de camarades qui abusent de lui. Ou bien d’un bizutage très poussé. Pourtant la rentrée est bien loin… à moins que des cambrioleurs surpris ne ...