Je suis marié
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
hh,
fhh,
hbi,
hplusag,
fplusag,
cocus,
Oral
pénétratio,
hsodo,
confession,
couple+h,
... douceur. Je me fais sucer par un mec. Qui plus est, un Black. Ce qui est le plus troublant, ce n’est pas la couleur de la peau reliée à une race, une ethnie ou autre chose. Non, c’est le noir qu’il faut retenir, contraste saisissant entre nos peaux. Je peux suivre ma hampe entre ses lèvres, chercher ma couille qu’il vient de gober : toujours ce blanc/noir et inversement. Il me pompe un long moment. C’est délicieux. Je n’ai pas le souvenir, même chez les putes, d’une telle profondeur. J’avais fermé les yeux sans m’en apercevoir, et c’est par un moment d’inaction que je les ouvre, mais Abdou est bien là. C’est juste qu’il tient une capote à la main. Une capote qu’il déroule sur mon pieu. En temps normal, je sais quoi faire, mais ici je suis comme un puceau pour sa première fois. Mais il suffit de suivre. Abdou s’allonge sur son transat. Il s’ouvre à moi en écartant les cuisses. Positions de femelle, mais une femelle avec un bâton qui pointe. — Venez, dit-il. Je m’approche. Je me place entre ses jambes. Ma queue se dirige tout naturellement vers le trou sombre. — Du gel, je demande, encore marqué par la remarque de l’autre fois.— Non, pas la peine. Mettez juste un peu de salive. Et je le fais. Comme je le fais pour Margie, je laisse tomber de la salive, mais je rate le trou. Je dois m’approcher. Il m’hypnotise. Enfin il est humide. Je me redresse. J’hésite, la queue dans la main. — Allez-y. J’ai envie. Vite. Je croirais entendre ma femme lorsque je joue avec elle et que je ...
... l’excite, la forçant à quémander que je la prenne. Ainsi, elle force sa pudeur et son éducation, obligée de m’avouer « J’ai envie ». Quelle différence ? Je pousse. Le cul s’ouvre pour moi. Je glisse dans un abîme. Si je ferme les yeux, je pourrais penser que je suis avec une femme, avec ma femme. Mais devant moi c’est un corps masculin, viril, puissant. Des cuisses musclées, des chevilles que je prends entre mes mains et qui me servent d’appui. Je le force. Je l’enfile. Je l’encule. — Oui. C’est bon. Continuez. Virilité contre virilité. Ce qui est dans le cul d’Abdou est plus petit que ce qu’il branle sous mes yeux, mais c’est à moi. Et c’est moi le mâle. Qu’importe la taille ; moi, j’y mets tout mon cœur. Mon ventre tape contre ses fesses. Mes couilles frôlent les siennes. Abdou ne cesse de cracher dans sa main pour rendre sa masturbation plus liquide. Je connais bien ce plaisir que je m’accorde parfois, seul dans une chambre, en voyage ou devant un film porno, pensant à ma femme alors que le floc-floc de ma salive rythme le mouvement. — Plus fort. Plus fort. Baisez-moi. Enculez-moi. Punissez-moi des cochonneries que je fais. Je mérite votre courroux. J’ai trahi votre confiance. « Oui, petit, je vais te mettre. » — Han ! Han ! Bûcheron de l’improbable. Ce cul profond qui m’attire. Cette queue qu’il branle, si grosse que sa main n’en fait pas le tour. — Han ! Han ! dit l’enculeur.— Oui… Oui… dit la femelle. Mais le « oui » ne finit pas. Il jouit. Sa semence jaillit en flots ...