1. Héloïse, ou les chemins de traverse (1)


    Datte: 11/04/2021, Catégories: fhh, couplus, alliance, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe fdanus, init, couple+h,

    ... son statut requiert ! rétorqua Héloïse.— Ça, sûrement pas ! gloussa François. Je ne verrais plus ta culotte !— Espèce de sale petit voyeur lubrique et obsédé ! Et t’es même pas gêné de mater ta belle-sœur, je parie ! Par jeu ou par provocation – inconsciente ? – Héloïse tendit la jambe et frappa durement du pied la cuisse de François. — Mais arrête, petite salope ! Tu me fais mal ! François avait saisi les jambes de ma femme et lui chatouillait la plante des pieds – ce qu’elle détestait par-dessus tout. — Non… non… François, je t’en supplie, arrête ! Tu vas me rendre folle !— Tu promets de ne plus me frapper ? De bien te tenir ?— Tout ce que tu veux, mais arrête, s’il te plaît ! François arrêta ses chatouillis. Prudent, ou prévoyant, il maintenait fermement les pieds d’Héloïse sur ses genoux, l’empêchant de se dégager. Conséquence de ses gestes désordonnés : la nuisette d’Héloïse était largement remontée sur ses cuisses et sa culotte était désormais bien visible. Apparemment indifférente, elle ne tenta pas de mieux se couvrir. Il y avait dans le salon comme un silence chargé de sensualité. Yeux clos, Héloïse était maintenant étendue sur le dos, les pieds toujours posés sur les genoux de François. Le temps semblait s’être arrêté. Personne ne disait mot. Alors, imperceptiblement, avec une infinie douceur, François a entrepris de caresser les pieds d’Héloïse. Plus question de chatouillis : la délicatesse du geste confirmait la caresse. Doucement, comme si de rien n’était, ...
    ... Héloïse a légèrement replié les jambes : l’arrière de celles-ci était désormais accessible aux doigts de François, qui ne se privait pas de poursuivre ses découvertes. Ses doigts glissaient le long du mollet, revenaient à la cheville avant de remonter jusqu’au creux des genoux, puis de les contourner : d’une légère pression, il chercha à les écarter. Héloïse, qui jusqu’alors n’avait pas bougé, ouvrit les yeux, m’interrogea du regard. En guise de réponse, je lui souris tendrement en caressant sa joue. Ses yeux se refermèrent. François avait compris que notre silence équivalait à un accord tacite et quand ses doigts exercèrent une nouvelle pression, Héloïse se résolut à écarter – oh, un peu – ses genoux. Fasciné, François ne quittait pas des yeux l’entrejambes de ma jeune femme : des poils blonds dépassaient sous l’élastique de la culotte, tandis que les lèvres de son sexe se dessinaient avec une discrète impudeur. J’avais bien vu qu’Héloïse respirait plus fort : sa poitrine se soulevait de façon désordonnée et les pointes de ses seins, manifestement durcies, étaient maintenant nettement visibles sous la nuisette. François avait repris son ascension : ses doigts progressaient sans hâte sur les cuisses d’Héloïse, passant de l’une à l’autre, encore et encore. Les cuisses largement écartées, celle-ci semblait vouloir s’offrir – attendant le contact intime que son esprit redoutait encore mais que son corps réclamait avec une impatience croissante… J’étais moi-même fasciné – et ému – par ...
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