1. Héloïse, ou les chemins de traverse (1)


    Datte: 11/04/2021, Catégories: fhh, couplus, alliance, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe fdanus, init, couple+h,

    ... le spectacle qui se déroulait sous mes yeux subjugués : jamais encore ma femme ne s’était abandonnée ainsi, jamais je n’avais imaginé – même sous la forme d’un fantasme – qu’un jour un autre homme s’autoriserait sur elle des caresses qu’elle ne refusait pas. Doucement, j’ai posé un index sur la pointe d’un sein, avant de la saisir entre index et majeur et de la pincer très fort – un peu comme une sorte de vengeance face à son abandon. Héloïse geignait doucement mais ne se rebellait pas. J’ai déboutonné deux boutons de sa chemise de nuit, puis glissé ma main sur sa peau : une main d’abord, puis les deux. Jamais encore, à mon souvenir, ses tétons n’avaient été aussi incroyablement durs, aussi turgescents. J’ai déboutonné trois autres boutons, puis écarté les pans de la nuisette, dévoilant entièrement la belle poitrine de ma femme. Le cœur battant, ému et troublé, je me disais que décidément, elle était bien, et pour toujours – du moins, je le croyais – la seule femme de ma vie. François, qui n’avait rien raté de ce séduisant tableau, n’en restait pas inactif pour autant : ses doigts avaient atteint le haut de la cuisse d’Héloïse, longeaient l’élastique de sa culotte, caressaient les poils rebelles… avant de se poser sur sa chatte et de longer les lèvres intimes, provisoirement encore à l’abri derrière un dérisoire bout de tissu. Une large tache humide avait percé le coton, signe évident de l’émotion et de l’excitation d’Héloïse. Quand un doigt passa enfin sous l’élastique, ...
    ... il fut aussitôt en contact avec la cyprine qui avait abondamment coulé du sexe de ma belle. François glissa son doigt à l’intérieur du sexe détrempé, le fit aller et venir en un mouvement de masturbation. Héloïse était toute rouge : son ventre s’était tendu pour aller à la rencontre du doigt qui la fouillait. — Si nous allions dans la chambre ? suggérai-je à voix basse. C’étaient les premiers mots prononcés depuis un bon moment – un moment qui m’avait paru durer une éternité, une éternité teintée de bonheur et de plaisir érotiques partagés… ++++++++++ J’ai pris Héloïse par la main et l’ai emmenée jusqu’à notre chambre. Sans dire un mot, elle s’est allongée au milieu du lit, bras le long du corps, yeux fermés. François et moi, on s’est déshabillés – entièrement. On bandait tous les deux comme des fous. Comme moi, mon frère affichait une érection spectaculaire… et une queue impressionnante : de quoi me rendre jaloux ! On s’est couchés de part et d’autre d’Héloïse. Elle avait toujours les yeux clos, comme si elle voulait ignorer ce qui allait se passer dans les moments à venir. C’est François qui a pris l’initiative d’ouvrir entièrement la nuisette d’Héloïse : — T’es vraiment belle, tu sais ! murmura-t-il. Et bandante, crois-moi ! Héloïse a ouvert les yeux, nous a regardés l’un après l’autre. Elle n’avait pas encore dit un mot, semblant hésiter encore entre désir lubrique et répulsion morale. J’avais saisi une pointe de sein turgescente entre pouce et index et je la pinçais, ...
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