1. Héloïse, ou les chemins de traverse (1)


    Datte: 11/04/2021, Catégories: fhh, couplus, alliance, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe fdanus, init, couple+h,

    ... doucement cette fois. François avait pour sa part approché sa langue de l’autre téton : elle tournait sans hâte autour de la pointe. Les dents ont pris le relais, mordillant la délicate chair rose. Et puis, la bouche entière a voulu se régaler : elle aspirait une bonne partie du sein, revenait ensuite à la pointe qu’elle suçait… suçait… cherchant à l’étirer douloureusement. Puis François a posé sa main sur le ventre de ma belle, l’a introduite à l’intérieur de la culotte ; ses doigts ont joué avec les boucles de la toison claire, avant de trouver la fente de la chatte : Dieu, qu’elle était ouverte et trempée ! Vouloir nier son excitation eût été ridicule pour Héloïse ! François avait glissé sans peine l’index et le majeur à l’intérieur du vagin. Il s’amusait à écarter les doigts pour élargir encore l’ouverture du sexe de ma jeune femme. Il porta son index dégoulinant à la bouche d’Héloïse : — Tu sens bon. Goûte-toi ! D’abord réticente, elle secouait la tête… avant d’ouvrir enfin la bouche et de sucer le doigt qui s’y était introduit. J’avais le sentiment qu’il nous fallait maintenant aller plus loin : — Soulève-toi, mon amour, ai-je chuchoté à l’oreille de ma femme. J’en ai profité pour lui ôter une nuisette et une culotte désormais inutiles. Héloïse était là, nue, toute nue, exposée à nos regards émerveillés et excités. — Viens me rejoindre en elle, m’invita François, qui avait retrouvé l’accès du vagin. Et il ajouta, à l’intention d’Héloïse : — Écarte bien les cuisses, ma ...
    ... belle. Ouvre-toi pour nous accueillir. C’était la première fois qu’un autre homme lui donnait une telle injonction. Docile, Héloïse obéit, ouvrit très fort les cuisses, nous offrant une vue merveilleuse sur sa chatte rose toute ouverte. Mes doigts glissèrent alors en elle, rejoignant ceux de François. Tous deux, on essayait de les entrer le plus loin possible, puis on les ressortait presque entièrement, forçant leur écartement pour agrandir l’ouverture. — Vous me faites mal, dit doucement Héloïse. Je n’ai pas l’habitude… Nous avons ôté nos doigts et je me suis allongé près d’elle. Elle s’est tournée vers moi, une jambe repliée sur la mienne. François s’était couché contre son dos, la queue entre ses fesses. Il la tenait entre ses bras ; ses mains avaient capturé les beaux seins ronds, s’amusant de nouveau à en étirer les pointes. — Si on arrêtait ? me chuchota Héloïse. Il n’est peut-être pas encore trop tard ?— Chut, ma chérie ! Tu n’es pas bien là, avec nous deux ? Laisse-toi aller… Tout se passera bien…— Mais… sa queue est énorme ! Tu l’as vue ? Pendant ce temps, François avait provisoirement abandonné un sein et promenait doucement sa queue le long de la fente d’Héloïse, de plus en plus ouverte et mouillée. — Je sens sa queue à l’entrée de mon sexe, me murmura Héloïse. Je la sens qui me pénètre, maintenant… Ô, mon Dieu, qu’elle est grosse ! Héloïse me regardait fixement, les yeux écarquillés, le souffle irrégulier. François avait commencé son va-et-vient, lentement d’abord, ...
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