1. Alys


    Datte: 13/04/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, frousses, inconnu, grossexe, grosseins, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral 69, pénétratio, sf,

    ... Eh bien il semblerait que je m’appelle Johan… Mon interlocutrice soupira et baissa un instant les yeux. — Écoute, Johan, tu ne peux pas rester ici ! Tu dois t’en aller. Je vais te donner de quoi passer inaperçu, mais…— Inaperçu de qui ? l’interrompis-je.— De tout le monde ! Les dégénérés sont pourchassés dans toute la ville. Et quand ma maîtresse rentrera, si elle te trouve là, nous aurons tous les deux de sérieux ennuis. Ce fut mon tour de soupirer. Je me laissai choir dans ce que je devinai être un fauteuil. — Je ne comprends rien, Alys. Qui est ta maîtresse ?— Dame Heline de Gofarn. Elle est tolérante, mais n’acceptera pas un homme ici.— Un homme ? C’est donc ça ? C’est parce que je suis un homme que tu me traites de dégénéré ? Elle marqua un silence, puis vint se camper debout devant moi, dardant une nouvelle fois dans les miens ses grands yeux verts fondants. J’avais toutes les peines du monde à ne pas laisser descendre mon regard jusqu’à sa poitrine. — Tu ne te rappelles donc rien de cet endroit ? Elle me prenait à l’évidence pour un fou. — Non. J’ai même l’impression que c’est la première fois que j’y mets les pieds. Pourquoi tous ces gens m’en voulaient-ils, dans la rue, tout à l’heure ?— Parce que tu es un dégénéré.— Un homme, c’est ça ? Elle acquiesça en hochant la tête. — Et toi, tu ne m’en veux pas ? Un nouveau profond soupir. J’insistai : — Pourquoi m’as-tu aidé ?— Parce que… Elle s’arrêta, apparemment pensive. Mon regard lourd dut finalement lui faire comprendre ...
    ... que j’attendais une réponse. — … parce que je suis moi aussi une dégénérée. Bon… si je croyais avoir eu un soupçon de compréhension de la situation, celui-ci venait de s’évanouir subitement. Donc j’étais un dégénéré parce que j’étais un homme, et elle aussi était une dégénérée. Tout ça n’était pas très clair. Elle avait baissé les yeux. — Euh… écoute… je sais pas ce que c’est que cette histoire, mais tout ce que je peux te dire, Alys, c’est que, dégénérée ou pas, je n’ai jamais vu une femme aussi belle que toi. Elle releva doucement la tête, et afficha un divin sourire qui aurait fait fondre n’importe quel cœur. — Merci… bredouilla-t-elle. Tu… tu n’es pas mal non plus. Ah ! Voilà une réponse qui me plaisait ! C’était d’ailleurs bien la seule réponse qui me convenait depuis que je m’étais éveillé tout à l’heure dans la rue… Je ne savais pas trop où j’étais tombé, et j’aurais sans doute dû m’en inquiéter grandement, mais pour le moment, toute mon attention était mobilisée par les traits et le corps délicieux de la divine créature que j’avais suivie jusqu’ici. Et sa réponse me ravissait au plus haut point ! Je ne me souvenais de rien, mais les jolies filles, je savais que ça me plaisait… M’extirpant du fauteuil, je pris les mains de la jeune femme. Elle se laissa faire, maintenant une nouvelle fois ses yeux braqués sur moi. J’approchai mon visage du sien, elle sentait bon. Elle ouvrit légèrement ses lèvres ; je l’embrassai ; nos langues s’entremêlèrent. — Nous… nous ne devrions ...
«1...345...14»