L'origine forestière du monde
Datte: 13/04/2021,
Catégories:
fh,
hépilé,
fépilée,
rasage,
entreseins,
Oral
nopéné,
revebebe,
couple,
Ce dimanche matin de fin décembre, en peignoir noir, assis devant mon portable posé sur la table de la salle à manger, je pose ces premiers mots puis, déroulant le fil de ma pensée, je continue sur ma lancée… C’est en parcourant le forum de Revebebe que j’ai eu l’idée de ce texte. Ce n’est pas la première fois que j’aborde ce sujet, mais comme ces derniers temps le site n’était pas trop animé, j’ai décidé de coucher sur l’écran mes idées fugaces et de voir s’il pouvait y avoir un peu plus de mouvements. Je regarde autour de moi ; le salon-salle-à-manger est vide, ma femme est dans notre chambre, sans doute sur un site en train de converser avec d’autres personnes… Elle adore dialoguer, c’est son nouveau péché mignon. Je continue ma prose… Je m’accorde une petite pause pour aller piocher dans le réfrigérateur une boisson fraîche ; j’ai besoin d’un peu de carburant pour continuer. Ceci fait, je m’assieds à nouveau face à l’écran tant que l’inspiration ne me fuit pas. Ah, j’entends du bruit… Ma femme s’agite dans son coin. Je me demande bien ce qu’elle fait. J’ai la réponse assez vite quand je l’entends marcher dans le couloir vers les toilettes. Je replonge alors dans mon texte et le fil de mes idées. — Tu fais quoi ? Je sursaute ; je me retourne : ma femme est juste derrière moi. Je ne l’ai pas entendue arriver. — Un petit texte…— Une histoire sur quoi ?— Pas une histoire, ma chérie, mais une sorte d’article sur les joies du pubis glabre ou pas…— Ah bon ? Et ça t’a pris ...
... comme ça d’un coup ? Je pivote et j’agrippe sa taille. Puis je l’oblige à s’asseoir sur mes genoux. Obliger est un bien grand verbe, car elle n’oppose aucune résistance. J’aime avoir ma femme à moi, contre moi. — Le forum de Revebebe était assez mort ; du coup, j’ai décidé d’y ajouter ma prose.— Ah bon ? Je peux lire, ou c’est top secret ?— Aucun souci, il n’y a rien d’indiscret là-dedans… Tu me diras ce que tu en penses, mais ce n’est pas encore fini… Et elle commence à lire. Moi, malgré son genou et sa cuisse bien dévoilés dans l’échancrure de son peignoir entrouvert plus bas, je rassemble mes idées, je les mets en forme dans mon cerveau, et quand je vois qu’elle est arrivée vers la fin du texte, je commence à rédiger la suite. La dernière ligne lue, elle se tourne vers moi : — Amusant, mon Doudou… Il me semble que tu as déjà évoqué ce genre de chose dans tes récits et aussi sur d’autres forums, non ?— Tu as raison, ma chérie. Mais de temps en temps, il est bon de rejeter ses idées afin de voir où l’on en est…— Pourquoi ça ? Tu changes d’avis avec le temps ? Je pose ma main sur son genou dévoilé, et je commence à le caresser. — Ça m’arrive… Tiens, au sujet des poils : quand j’étais plus jeune, j’étais partisan des touffes fournies.— Ah bon ?— Eh oui… Je ne détestais pas quand une femme avait sa petite forêt entre les jambes. Et comme j’étais un intrépide explorateur, je me faisais un plaisir d’aller explorer la jungle en question ! Ma main remonte de plus en plus haut sur sa ...