1. L'origine forestière du monde


    Datte: 13/04/2021, Catégories: fh, hépilé, fépilée, rasage, entreseins, Oral nopéné, revebebe, couple,

    ... cuisse, sous son peignoir… Avec un petit sourire aux lèvres, elle me regarde, songeuse. — J’ai quelques souvenirs de ce style, au début de notre rencontre… Comme elle, je me contente de sourire. Je reconnais que je ne suis pas trop timide avec une femme dans l’intimité, mon but avoué étant notre plaisir à tous les deux, et je préfère avoir des remords d’en avoir trop fait que des regrets de n’en avoir pas fait assez… Je la serre un peu plus contre moi tandis que ma main caressante est arrivée, sous le tissu, sur sa hanche. — Au fait, ma chérie, je peux parler un peu de nous ?— Comment ça, parler de nous ?— Attends, je vais écrire ce que j’ai en tête. Tu as un peu de temps ?— Oui, j’ai un peu de temps… Alors, quittant à regret sa peau toute douce et chaude, toujours avec ma chère femme sur les genoux, je rédige la suite. Je me tourne vers ma femme, dont le visage est juste à côté du mien, et je lui demande, posant à nouveau ma main sur son genou : — Ça te convient ?— J’attends la suite, mon Doudou…— Fort bien ! Je me penche un peu pour déposer un double bisou sur ses seins, dans le décolleté à présent plongeant de son peignoir. Puis, quittant à nouveau son genou et louchant très souvent sur la fente séparant ses seins lourds, je continue malgré tout ma prose : — Ah bon, mon Doudou, raser mon minou te fait cet effet-là ?— Tu le sais très bien ! Elle se contente de sourire. Elle sait très bien que le rasage intime de son pubis fait partie de nos petits jeux, et qu’une fois son ...
    ... mont de Vénus tout lisse, je me fais un plaisir de l’honorer à ma façon ! — Plus que quelques paragraphes et j’ai fini…— Prends le temps que tu veux… Fais en sorte que ton texte soit parfait.— Oh, mon texte… c’est secondaire.— Ah bon, Doudou ? Pour toute réponse, ma main glisse à nouveau sur sa cuisse et s’en part caresser sa hanche, puis elle revient sur son ventre, entrouvrant encore plus son peignoir, me laissant voir sa chair si appétissante ! Mutine, elle enlève cette main vagabonde. — Taratata ! Finis ton texte, sinon, tel que je te connais, il va moisir dans son coin je ne sais combien de mois ou d’années avant que Monsieur ne se décide à le terminer.— OK, ma chérie… je vais finir ce que j’ai commencé. Dans les deux cas !— Je n’en doute point, Doudou. Elle me regarde d’un air hautain. — C’est ça, déballe tout de notre intimité, je ne te dirai rien !— Oh, avec tout ce que j’ai pu raconter dans mes diverses histoires, je me demande bien ce qui peut rester à dévoiler de ta délicieuse personne, ma chérie. Elle passe ses bras autour de mon cou. — C’est-à-dire, Doudou ?— Disons que, manquant parfois d’imagination, ce sont souvent des morceaux de toi que je glisse dans mes histoires…— Manquant d’imagination, toi ? Depuis quand ?— Depuis toujours. Disons que, comme en cuisine, je ne suis pas mauvais pour arranger les restes de la veille. Et sans vergogne, je plonge le nez le premier dans son trop tentant décolleté. Comme de coutume, je dépose des baisers voraces et brûlants sur ...
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