1. L'origine forestière du monde


    Datte: 13/04/2021, Catégories: fh, hépilé, fépilée, rasage, entreseins, Oral nopéné, revebebe, couple,

    ... Toujours ! Du nez, des lèvres, de la langue et du menton, je m’offre une bonne cure de seins, de lolos, de roberts, de nichons, de rotoplos, de roploplos, de loches, de miches, de nénés, de nibards et j’en passe ! Sans parler des melons, des pamplemousses, des pastèques même ! J’adore totalement ses atouts, ses arguments, ses avantages en avant, ses attirants attraits, ses charmes chéris, ses agréables agréments ! Que ne ferais-je pour ses airbags, ses mappemondes, ses globes, ses ballons, ses dunes, ses pare-chocs, ses Athos et Porthos ! Il existe tant de mots pour désigner ces deux monts que je chéris ! Et bien sûr, ma chère femme me laisse faire le bébé aventureux. Et bien sûr, j’en profite allègrement ! Ça me fait alors songer que le sujet de mon petit texte était situé plus bas. Ce ne sont pas les synonymes qui manquent pour désigner son pubis, son mont de Vénus, sa fente, son abricot, sa conque, sa foufoune, son puits d’amour. Plutôt que de les énumérer, allons plutôt adorer comme il se doit cet endroit intime ! Ces derniers temps, ma femme préfère le glabre, ce qui a ses avantages. Mais une mignonne touffe a aussi ses privilèges. C’est selon. Il faut savoir alterner et varier les plaisirs… Quittant ses lourds seins voluptueux, je fléchis sur mes jambes afin de glisser sur son ventre que je couvre de baisers ; j’en suis la courbe charnelle, je contourne son nombril puis je descends du bout des lèvres vers son pubis tout lisse. Je m’offre le doux plaisir de l’embrasser ...
    ... un peu partout avant de dénicher l’orée d’une fente odorante que je soupçonne déjà un peu humide. Elle écarte les jambes afin que je me niche au mieux contre son nid tout lustré, m’agenouillant de part et d’autre de ses cuisses si douces. Ma position commence à devenir un peu plus acrobatique ; je ne pense pas que je saurai encore le faire d’ici dix à vingt ans, donc autant en profiter maintenant !Carpe diem, comme on le disait il y a plusieurs siècles, voire quelques millénaires. Oui, ma femme est déjà toute détrempée ; j’adore boire à sa source. Je cueille un peu de cyprine pour venir ensuite taquiner son petit clitoris. Je renouvelle l’opération plusieurs fois. Aux soupirs que j’entends, je comprends qu’elle ne déteste pas ! D’une main, je caresse voluptueusement ses fesses, et de l’autre je joue avec ses seins lourds, titillant ses tétons érigés, soupesant ses savoureuses masses charnelles. Elle accompagne par divers mouvements de bassin les agaceries de ma langue, sachant bien me faire comprendre où il est souhaitable de persévérer ou conseiller d’aller ailleurs. Sa cyprine est abondante ; c’est un véritable plaisir de la boire et de s’en servir pour en barbouiller sa fente si savoureuse ! Je la sens qui ondule, se contracte. Ses doigts dans mes cheveux se font plus rapaces, son souffle de plus en plus court. Le nez enfoui entre ses lèvres, je lape, je lèche sans relâche, je suçote vicieusement son petit bouton rose ; le bout de ma langue suit ses plis et replis. Soudain ...
«1...3456»