1. L'origine forestière du monde


    Datte: 13/04/2021, Catégories: fh, hépilé, fépilée, rasage, entreseins, Oral nopéné, revebebe, couple,

    ... elle explose dans un long gémissement tandis que son mouvement de bassin devient plus pressant encore. Sa jouissance ressemble à une série de vagues puissantes qui déferlent en elle et dont mes lèvres cueillent les résultats et les vibrations. Je continue à jouer de la langue dans son intimité. D’un geste brusque, elle repousse ma tête tandis qu’elle continue audiblement de jouir. Je me recule un peu pour admirer ma femme dans tous ses états, debout, son corps tremblant de plaisir, son ventre frémissant, ses seins lourds agités de soubresauts, sa tête lancée vers le plafond ! Elle s’apaise peu à peu, les tremblements s’espacent. S’éloignant de moi, elle s’effondre dans le canapé voisin, les bras le long du corps, les jambes écartées. Je me contente de la regarder, de voir sa jouissance s’atténuer. De longs instants s’écoulent, sans pouvoir les mesurer… — Eh ben, mon Doudou ! Il faudra que tu écrives plus souvent sur ce forum…— Si c’est ainsi à chaque fois, je veux bien faire l’effort.— C’est ça ; plains-toi, pauvre Calimero ! Me relevant, je m’approche d’elle. Elle me lance : — À cause de toi, je suis toute raplapla, et j’ai le minou tout trempé !— Pour le minou, je peux te le nettoyer du bout de la langue…— Ah non, pas tout de suite ; laisse-moi récupérer !— OK ; mais je constate que tu n’as pas dit non. Amusée, elle soupire, toujours avachie impudiquement sur le canapé : — Tu es un bel obsédé !— Un bel obsédé, que de toi !— Il y a intérêt… Je suis face à elle. Ma chère ...
    ... femme remarque tout de suite que quelque chose est en parfaite condition entre mes jambes. Elle remarque : — Tu m’as l’air bien en forme, toi…— Mets-toi à ma place !— Je ne peux pas, mon Doudou : je suis une femme, et toi un homme. Tandis qu’elle parle, j’en profite pour abaisser mon pantalon et mon caleçon afin de faire prendre l’air à mon mât de chapiteau bien raide. Je déclare, péremptoire : — J’ai envie de faire sur tes seins !— Ben voyons… Ce qui ne l’empêche pas d’avoir un grand sourire et de presser ses seins pour me les présenter. Je m’agenouille de part et d’autre de son beau corps repu et j’enfouis ma queue bien dure entre ses douces masses molles. C’est délicieusement bon ! Les joies espagnoles nous conviennent à tous les deux. Elle aime voir le sperme se répandre – une preuve concrète du désir des hommes pour elle – sans parler d’une certaine facilité de nettoyage ensuite. Et moi, vicieusement, j’aime la souiller, voir ses beaux seins luisants, un peu gluants. Je fais glisser mon mandrin entre ses seins ; c’est doux, c’est extra, c’est divin ! Je resterais bien ainsi un temps infini pour profiter pleinement de cette sensation délicate et céleste. Il y a quelque chose d’étrange et de voluptueux à coulisser entre deux masses de chair tendre et chaude, d’aller se nicher dedans, puis de ressortir afin de recommencer. Pas la même sensation qu’une bouche suave, pas la même impression qu’un vagin accueillant, pas la même perception non plus qu’un anus transgressif. Il ne me ...
«1...3456»