1. Souvenirs d'une autre vie (3)


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... voici comme une gamine, tournant en rond et guettant chaque bruit inaccoutumé. Ah ! Le moteur qui vient de s’éteindre c’est lui… Pour un peu, je battrais des mains. Il est là ! Je ne lui laisse pas le temps de sonner que déjà je lui saute au cou. Tout commence par son parfum. Un musc épicé qui m’enivre et me donne mes premiers frissons. Je me blottis contre sa poitrine et il a ses pattes qui m’entourent, se serrant dans mon dos. Je suis en nage. Son sac contenant des vêtements pour les trois jours a été jeté dans l’entrée. Je suis vaincue avant même de m’être battue. Il me liquéfie dès qu’il me touche. Comme c’est bon ! J’aime être près de lui, et il ne se prive pas de mettre ses mains partout et par hasard le plus près possible de mes fesses ! — Nous sommes invités ! Alors, ne me décoiffe pas, s’il te plait. — Invités ? Par qui et où ? Moi qui comptais passer un séjour entre tes bras. — Chez Maryse ! Tu te souviens d’elle ? La brune du dancing… — Euh ! Je l’ai à peine aperçue… entrevue une seconde… — Menteur, je sais que tu t’es attardé sur ses formes. Elle contrairement à moi est menue et élégante. Une belle femme qui j’en suis sûre, t’a plu au premier coup d’œil… et sa maison est au bord du lac, tu vas voir, c’est un endroit de rêve. On pourra se baigner… — On pourra aussi faire… crac-crac ? — Idiot… ça on peut partout, du reste sa propriété est grande et son jardin borde l’eau avec des haies qui nous rendent invisibles des voisins… — Et elle ? Elle ne nous verra pas non ...
    ... plus ? Tu me la prêteras ta copine ? — Ça ne va pas non, je te veux pour moi toute seule… je ne partage pas, elle ne serait de toute façon pas d’accord. — Qu’en sais-tu ? Tu lui as déjà demandé ? — Non, mais… je la connais mieux que quiconque. — On dit ça… — Arrête Moïse, ne me déshabille pas s’il te plait… non ! Pas maintenant… nonnn… Il insiste et je craque. Ma chemise n’a pas tenu plus de deux minutes. Ma jupe guère plus et me voilà la culotte en bas des jambes. Sa main large et douce folâtre dans ma toison. Salaud ! Que j’aime ça ! Il introduit un doigt dans ma chatte et je me contorsionne comme une cochonne. Nous sommes dans l’entrée et il me soulève comme si je ne pesais pas plus qu’une plume… une grosse plume quand même ! Je n’ai pas le temps de dire ouf, que mes fesses sont posées sur le bord de la table. Il me plie en arrière. Sa bouche se goinfre de mes seins qui plongent sous leur poids. Et il a pris place entre mes deux cuisses largement écartelées. Ses lèvres ne se suffisent pas de mes nichons. Je suis maintenant bien à plat sur le tablier de la table. La bouche gourmande revient à la charge, mais cette fois dans l’ouverture qu’il maintient disponible. Il a posé mes talons sur ses épaules, il ne s’est pas même dévêtu. Le bruit du zip qui ouvre sa braguette me laisse entrevoir la suite logique de ce qu’il a si vaillamment débuté. Pas plus d’autres préliminaires, et déjà il me pousse dans le con son gland sans capuche. Ce n’est pas la longueur qui dénote, mais la ...
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