1. Souvenirs d'une autre vie (3)


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... circonférence. Malgré l’humidification de sa salive et ma mouille, l’intromission s’avère un moment… intense. Il doit forcer un peu plus que la normale, s’enfonce jusqu’à la garde dans ma chatte qui appelle de toutes mes forces son vit endiablé. Il reste calé bien au fond, revient ensuite lentement, tout en remuant d’une manière tellement spéciale que je miaule immédiatement. Au bout de trois allées et venues, il est bien en place et un rodéo épique peut commencer. Il me pousse sur les talons qu’il tient aux creux de chacune de ses paumes. Mes jambes remontées de telle façon que l’accès à ma foufoune est complet, il me lime longuement sans marquer de temps d’arrêt. Je brame comme une biche en rut. Il est fort, il est rude, mais bon Dieu que j’aime ce qu’il me fait. Immanquablement au bout de quelques minutes de ce traitement de faveur, je me sens l’envie irrésistible de lâcher des jets de cyprine. Je ne peux plus rien retenir, ma tête flotte dans un nuage et je hurle des mots que mes lèvres ne savent plus endiguer. Mes mains se crispent sur tout ce qu’elles touchent. Mes ongles labourent la peau de ce qu’ils empoignent. Il ne cesse pas pour autant ces manœuvres et je pars à plusieurs reprises pour un royaume où les couleurs sont toutes indescriptibles. Et voilà ! Mon maquillage est foutu, les cernes bleus sous mes quinquets ne sont que du rimmel qui a dégouliné, je suis folle et pourtant si bien dans ses bras ! Quand il asperge ma toison, après s’être brusquement retiré, ...
    ... c’est un cri rauque qui s’échappe de ma bouche, un appel au secours provoqué par le vide impressionnant qu’il laisse brutalement. — oooOOooo — Maryse La pendule de la cuisine indique dix-neuf heures. Pauline et son chevalier servant devraient être là depuis un bon moment déjà. Ce n’est pas que je m’inquiète, mais habituellement elle est si ponctuelle. Je revisite plusieurs fois le réfrigérateur, m’assurant par là, que je n’ai pas oublié de mettre une bouteille de blanc au frais ni que mes glaçons sont bien dans le seau. Puis c’est le carillon qui tintinnabule et je sursaute, avant d’activer l’ouverture du portail. Le gravillon de l’allée en pente douce amenant le véhicule vers la maison me renseigne sur l’avancement des deux tourtereaux. Un tourbillon blond vient d’entrer dans ma cuisine. Je suis happée par deux bras costauds et compressée sur une poitrine conséquente. Quand elle me libère enfin de son étreinte ventouse, une tête aux lèvres roses me sourit. Ce visage est d’une noirceur irréprochable, seulement percé de deux billes blanches au centre sombre. — Maryse… mon ami Moïse… ce n’est pas son vrai prénom, mais c’est imprononçable alors… mais je pense que vous vous êtes au moins croisés le soir de notre sortie. — Oui ! Entrez ! Entrez ! Monsieur Moïse. Faites comme chez vous ! — Vous êtes aussi belle que dans mes souvenirs… — Tu ne vas pas commencer ! Tu ne dragues personne quand je suis là ! Compris ? Elle éclate de rire en lui prenant la main et en l’attirant vers elle. Le ...
«12...678...22»