1. Première rencontre avec Carmen


    Datte: 15/04/2021, Catégories: fh, fplusag, voisins, nympho, grosseins, lunettes, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme massage, entreseins, nopéné, jeu, init, confession, inithf,

    ... Dans mon dos, je l’entendis tirer les rideaux sur toute la longueur de la fenêtre, tamisant légèrement la pièce plus que cela ne la plongea dans l’obscurité. J’étais sûr de l’avoir entendue murmurer : « Tant pis, on verra bien… », avant de se lever. Je m’étais tourné par curiosité, une seconde à peine, et presque instantanément, elle me lança un « Retourne-toi ! » d’un ton sec et autoritaire appuyé d’un regard menaçant, qui claqua avec la sévérité d’un coup de fouet. Dans cet infime laps de temps, j’avais surpris un visage qu’en plusieurs mois, je n’avais jamais observé. J’eus la désagréable impression que l’on ressent en anticipant un inévitable accident ; je l’avais surprise sur le point de se déboutonner. Les mains moites, le souffle court et les oreilles bourdonnantes, je sentais mon cœur battre jusque dans mes tempes. C’était très perturbant. Un soudain voile feutré s’abattit sur moi : le chemisier de Carmen avait atterri sur mon visage. Elle me l’avait jeté au détour du canapé et en avait profité pour reprendre sa place sur le fauteuil. Le poids de la broche le fit glisser le long de mon nez sans que je n’y touche, de telle sorte que stimulé par le parfum qui s’en dégageait, j’eus du mal à en dissimuler mon émoi naissant. Ne sachant quoi faire d’autre, dans l’urgence, je m’en étais servi en recouvrant mes cuisses une fois terminée sa chute. — Je sais qu’on doit te le dire souvent, mais c’est fou, les yeux que tu as. On en aurait du mal à maintenir le regard… J’avais du ...
    ... mal à y croire. Elle était là, en soutien-gorge, et continuait à me parler normalement. Ma surprise fut aussi soudaine que violente. J’étais subitement comme hypnotisé. Impossible de me détacher de la dentelle, pleine d’arabesques blanches et rouges, mais surtout de ce qui s’y cachait derrière. Se tenait devant moi la poitrine la plus opulente qu’il m’ait été donné de contempler, encore jusqu’à aujourd’hui. Le bourdonnement de mes tympans était passé, et mon cœur battait maintenant plus bas. Il m’était impossible de freiner l’afflux sanguin qui s’engageait alors inextricablement vers d’autres artères. Chacun des soubresauts et tressaillements que je ressentais sous la ceinture venait verrouiller sa lente progression, étape par étape. J’étais dur comme de la pierre en à peine une dizaine de secondes. — Vu que, visiblement, tu comptes rester muet comme une carpe, tu me vois obligée d’employer la manière forte… À mon âge, toi non plus, tu ne t’encombreras pas de toutes ces simagrées. Tu veux mon avis ? La drague, ce n’est qu’une vaine perte de temps. Tout le monde sait à quoi ça mène, de toute façon : la bagatelle, la partie de jambes en l’air ou je ne sais pas quel nom à la mode vous lui donnez en ce moment… On y va ou on n’y va pas… Parce que… que tu saches tout de même, jeune homme : je sais évidemment comment installer une imprimante. Il n’y a rien de bien compliqué à insérer un CD-Rom et à cliquer consécutivement cinq ou six fois sur OK, pas vrai ? C’était juste une bonne ...
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