1. Circonstances particulières


    Datte: 15/04/2021, Catégories: fh, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral mélo, consoler,

    ... moque-t-elle en indiquant d’un signe de tête la bosse qui déforme son pantalon.— Ce n’est pas ce que tu penses, se défend-il en essayant de ne pas bouger pour ne pas paraître coupable.— Je peux vérifier ?— Hein, quoi ? Vérifier quoi ? Qu’est-ce que…— Depuis combien de temps n’as-tu pas vu une femme pour te laisser ainsi aller, devant ta cousine en plus ? Là, elle exagère. Il doit faire quelque chose, ce n’est pas cette petite fille à papa qui va lui en remontrer. La meilleure défense est toujours l’attaque, c’est en tout cas ce que disent toutes les bonnes théories. — Depuis sûrement moins longtemps que toi tu n’as pas vu un homme, ma chère Léa.— Oh, mais c’est qu’il mordrait ! Écoute, je veux juste te dire que maintenant que mon père n’est plus là, j’ai l’intention de vivre ma vie à fond et de faire tout ce dont j’ai envie. Je ne veux pas m’apitoyer sur mon sort. Alors si le cœur t’en dit, on peut s’amuser un peu tous les deux. Le cerveau de Bernard roule à toute allure. Il se voit déjà en train de baiser sauvagement sa cousine devenue une vraie salope. Toutes les positions les plus extravagantes lui passent par la tête l’espace d’un instant. La vision fugace de son corps entrevu sous la douche lui revient en mémoire. En un mot, il est fou de désir et ne souhaite qu’assouvir ses instincts les plus bas. Cette vicieuse l’a vraiment mis dans tous ses états. Comme si elle lisait dans ses pensées, elle rit et s’explique : — Ne t’imagine pas trop de choses, cher cousin, parce que ...
    ... justement tu restes mon cousin. Je n’ai pas envie de faire des choses que je pourrais regretter. Mais si tu veux, je peux te proposer un compromis qui gardera la morale sauve.— Dis toujours…— On va dans le salon et on s’assoie sagement l’un en face de l’autre. Défense de toucher l’autre. Défense de se déshabiller. Tu peux me parler, tu peux te toucher par dessus tes vêtements. Et c’est ainsi que Bertrand suit Léa dans le salon, comme drogué. L’idée de Léa ne semble pas à même de satisfaire ses fantasmes, mais elle est quand même venue d’elle, c’est bon signe. Bertrand s’installe calmement dans un fauteuil, tandis que Léa prend place sur le canapé juste en face. — Alors, cher cousin, je te fais vraiment autant d’effet que ça ? dit Léa, d’un air malicieux avant de se lécher sensuellement les lèvres.— Arrête, Léa, tu vois bien que tu me fais bander, et ce n’est pas sérieux de ta part.— Et si je caresse mes beaux seins comme ça, ça te fait de l’effet ? dit Léa en commençant à se toucher délicatement la poitrine Bertrand n’en revient pas. Il bande à en avoir mal, mais n’ose pas en faire plus. — Mmmm… murmure Léa. Tu sais que tu peux te caresser si ça te tend trop, ne te gène pas pour moi en tout cas— J’attends d’abord de voir ce que tu vas faire, souffle-t-il, un brin provoquant. La tension monte d’un cran dans la pièce. On n’entend plus que la respiration un peu trop rapide des deux jeunes gens. Deux personnes que la vie a réuni dans des circonstances particulières. Rien n’aurait ...
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