Circonstances particulières
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
mélo,
consoler,
... pu faire croire à Bertrand qu’une femme qui vient tout juste de perdre son père pourrait avoir envie de sexe. Comme quoi la nature féminine est toujours un mystère. Son sexe est à l’étroit dans son pantalon. De petits soubresauts l’agitent de temps en temps, rappelant à son propriétaire l’urgence de la situation. Mais d’un autre côté, la scène est belle, figée dans le temps. Léa alanguie sur le canapé, les mains posées négligemment sur son corps, le mettant encore plus en valeur. S’il avait un appareil photo, il immortaliserait ce moment. Et lentement, ses yeux dans les siens, elle déplace sa main le long de son corps et atteint le doux renflement au travers de sa jupe. Elle n’a pas de culotte, mais cela Bertrand l’ignore et doit continuer à l’ignorer. Ce plaisir qu’elle se donne est une parenthèse dans sa vie, avant de passer à autre chose, avant de continuer le futur avec une énergie nouvelle. Bertrand ne peut que remarquer la main droite qui s’aventure de plus en plus précisément vers ce qu’il imagine être son bourgeon tendu et sa fente mouillée. Mais il est comme hypnotisé par le regard de sa cousine. Il n’ose pas rompre la magie qui s’est installée. S’il regarde son corps avec trop d’insistance, elle risque de tout arrêter. Pourtant, il le voit du coin de l’œil, la main s’active. La bouche de Léa s’entrouvre, sa respiration s’accélère. Il n’ose aucun mouvement, son sexe lui fait mal, mais il ne se touchera pas. La vision qu’il a sous les yeux en ce moment vaut beaucoup ...
... plus qu’une séance masturbatoire égoïste. Léa tente de résister au plaisir qui l’envahit. Sa main légère ne fait que frôler son clitoris, mais cela suffit pour la mener vers cette jouissance libératrice. Le regard de Bertrand l’empêche de se perdre trop rapidement. Elle s’y raccroche comme à une bouée. Lorsque la vague inéluctable survient, ses yeux basculement dans la vague, son corps se tend, elle bouge le moins possible, aucun bruit ne sort de sa bouche. Tout a été très rapide. La volupté qui émane de la jeune femme fait de l’effet à Bertrand. Il n’a pas bougé devant son plaisir, mais cette vision l’a mis au supplice. Maintenant que son corps semble s’être remis de cette envolée, il la désire au plus au point. — Léa, je t’en prie, laisse-moi te baiser, la supplie-t-il.— Encore en surplus d’hormones, cousin ? Moi ça va nettement mieux pourtant… Ceci étant dit, ça m’exciterait beaucoup de voir comment tu t’y prends pour te caresser. Après tout, je viens de t’offrir un beau spectacle. Tu me dois bien ça… Bertrand finit par céder, à la fois à la tentation offerte par sa cousine et à ses envies physiques qui ne peuvent laisser place au doute. Il se recule sur son fauteuil et place sa main gauche sur son pantalon, au niveau de la bosse qui le déforme tellement… Il fait de petits mouvements de haut en bas, puis de bas en haut, doucement d’abord, puis de manière plus brutale. Il se met à apostropher Léa : — Alors, cousine, le spectacle te plait ? Je bande bien comme il faut ? Ma ...