À la cime des arbres
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
ff,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
couple,
uniforme,
avion,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
chaussures,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
... dénué de toute étoffe, je réponds aux équipes en bas, venues à notre secours. — Oui, oui, nous sommes là ! Tout va bien !— Ah ! Enfin ! Ça fait deux minutes qu’on klaxonne ! Vous faites quoi là-haut ? Y’a pas la télé à c’que je sache ! Et Esden, elle est où ? réponds l’ami de ma chérie qui est le propriétaire du ballon. Je me retourne pour voir où en est Esden. Toujours dans la même position, elle se caresse, la bouche légèrement ouverte laissant apparaître ses dents. Je devine aisément qu’elle essaye de faire perdurer son plaisir et surtout, enivrée par celui-ci, elle tente d’atteindre la béatitude totale qui lui était tant promise. Le rouge envahit mon visage et je tente de parler le plus distinctement possible, sans trahir une quelconque émotion dans ma voix. — Esden… elle se repose. Tout va bien, faites nous descendre c’est tout ! Mon cœur bat la chamade, j’ai l’impression d’avoir le nez aussi long que le plus grand des mensonges de Pinocchio. Je suis à demi-nue, vêtue d’une chemise rapidement boutonnée, les jambes nues, les cuisses encore humides et derrière moi, se trouve ma bien-aimée nue mais bottée, se donnant un dernier coup de main vers le paradis de la zenitude accomplie. Notre ami me rassure et ...
... nous indique qu’ils vont nous aider à descendre et qu’ensuite on s’occupera de la montgolfière. Sachant que nous devons notre salut proche à une séance de rhabillage expresse, je m’assois dans la nacelle. Ma compagne a déjà commencé sa gym et je la suis dans une précipitation aussi folle qu’incongrue pour ce genre de situation… Au bout de longues manœuvres la montgolfière est sur le sol, tout comme nous. Esden et moi sommes dans une voiture et rentrons à l’aérodrome, toutes les deux sur la banquette nous avons échangé de nombreux regards mais très peu de paroles. Sans doute pour ne pas briser cette excitation passée et pas encore totalement estompée. Devant nous, au volant, notre ami s’étonne et interroge ma voisine. — Tout de même, c’est étonnant que tu n’aies pas vu ce qui n’allait pas. Une panne aussi simple, moi qui t’ai tout appris. J’suis surpris. Enfin, en tout cas, heureusement que je t’ai appris comment se poser sur un amas de branches au-dessus des arbres. Bien que la clairière à côté eut été plus pratique ! À croire que tu l’as fait exprès ! De suite, je tourne la tête en direction d’Esden et la surprends en train de regarder par la fenêtre de la voiture, un sourire malicieux sur le bord des lèvres…