Gloria ou Mathilde
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
jalousie,
dispute,
pénétratio,
confession,
filmx,
lieuxpubl,
... telle émotion en se voyant. Une émotion reptilienne, très perceptible dans le rythme. L’homme s’approche d’elle. Elle se recule contre le vieux meuble et y pose ses mains en arrière. Il tire la ceinture du peignoir et dévoile le corps magnifique de Mathilde. Elle écarte ses jambes, s’offre ostensiblement aux caresses d’Hector. Il ôte sa chemise, son pantalon, son slip kangourou et s’approche à nouveau d’elle. Ils sont beaux, ils transpirent l’envie de sexe, la luxure débridée. Il l’embrasse, la caresse. Je les vois de profil. Elle a passé une main entre leurs corps et lui caresse le sexe. Les caméras saisissent cet instant d’un incroyable érotisme. Le sexe de l’homme change petit à petit de dimension. Elle bascule sa tête en arrière et se frotte l’engin devenu dur entre les cuisses. C’est saisissant de réalisme. Elle se trémousse. Il imprime quelques poussées après avoir fléchi ses jambes. Les corps se rapprochent de plus en plus, puis elle retire sa main. Il la presse contre lui et on dirait vraiment qu’il la pénètre. Je sais que non. Les images sont trompeuses, mais c’est un film d’auteur, pas un porno. Ils font l’amour debout, en tout cas c’est que diront les images une fois montées. C’est tellement beau, un homme et une femme qui communient dans le plaisir ! Elle est tellement belle avec lui ! Il finit de faire tomber le peignoir tout en simulant sa besogne, puis la décolle du sol comme si elle ne pesait rien. Elle passe ses jambes autour du bassin de l’homme. Ils sont ...
... toujours de profil. Les mouvements du mâle se font toniques, amples et profonds. Elle semble en extase, s’agrippe à lui, gémit, souffle, halète. Puis ils se mettent à tourner un peu sur eux-mêmes, en même temps qu’une caméra se déplace. Elle semble s’empaler profondément et y prendre un plaisir immense. Dans mon studio, j’aurais été plus près de l’action. Je suis trop loin, trop à l’écart, mais il est impossible de bouger sans gâcher la scène. Il se baisse doucement, puis s’allonge sur le dos. Elle reste collée à lui et se retrouve les genoux au sol, à califourchon. La caméra principale est sur le côté et les immortalise dans l’action par le profil. Une autre, au-dessus, guidée sans doute par une télécommande, donnera l’impression de les voir du ciel. Ce que je vois, moi, est sidérant. Je suffoque. Je tremble de partout. Même si je suis trop éloigné pour percevoir les détails, je vois un sexe tendu disparaître dans les chairs de la comédienne. Ils poussent la simulation bien plus loin que je ne l’aurais imaginé. Il la pénètre vraiment. Elle cherche à être prise le plus profondément possible, et lui pousse autant qu’il peut pour lui faire du bien. Je vois une paire de fesses rebondies bouger au rythme de leurs ébats. Je vois un sexe sortir puis entrer à nouveau, dur et raide. J’entends Mathilde gémir, dire qu’elle aime ça. Puis je n’entends plus rien ; ils s’embrassent sans doute, mais je ne peux que l’imaginer. J’entends à nouveau des soupirs, des gémissements, puis je vois les ...