1. La rentrée


    Datte: 17/04/2021, Catégories: fh, ff, fff, fbi, copains, profélève, uniforme, grossexe, fépilée, école, fsoumise, fdomine, noculotte, vidéox, rasage, Oral fgode, fdanus, jouet, fouetfesse, délire, initiatiq, f+prof,

    ... vêtements. Des culottes, des soutifs, des robes, des jupes, des hauts de toutes sortes, des chaussures, des bottes… Toutes les tailles. Ah, et voilà les uniformes. Pas le temps de traîner. Jupe, OK. Chaussettes, OK. Chemise blanche : j’ai l’impression d’avoir les nichons d’une pornstar, mais OK. Cravate, OK. Culotte : je prends de tout. Soutif : classique, push-up ; tiens, avec un cache-tétons amovible. Pourquoi pas ? Et voilà, c’est plié. Je prends le temps de faire le tour du dressing, il me reste encore un peu de temps. Au fond, une porte, ouverte. Sur l’encadrement de la porte, écrit en rouge : « Réservé aux deuxième année ». J’entre ? Je n’entre pas ? J’entre ! Allez… Je n’ai vu personne entrer depuis mon arrivée, tout le monde doit se préparer pour les cours. J’y retrouve les mêmes rangements, mais le contenu est bien différent. Du latex, du cuir, du vinyle… beaucoup de résille aussi. Des accessoires, toute une rangée de menottes : en fer, avec moumoute de toutes les couleurs, en cuir, avec chaînette, chaîne, pour poignets, chevilles… Je n’avais jamais imaginé qu’il pouvait y avoir tant de choix pour des menottes. Ah, des colliers aussi, des laisses… voilà voilà… Puis des godes, des vibros aussi : une rangée, deux, trois… Je ressens une violente douleur dans la fesse droite, et j’entends un claquement sec. Je me retourne. Des yeux verts sur- et soulignés de noir me toisent. Elle est brune, les cheveux longs tirés en arrière en queue de cheval. Son corset en vinyle, ...
    ... d’un noir éclatant, tente désespérément de contenir ses seins, bien trop volumineux. Sa jupe de la même matière s’arrête au tiers supérieur de sa cuisse, laissant voir un peu de chair avant qu’elle ne soit masquée pas de hautes cuissardes noires aux talons démesurés. Elle tapote le creux de sa main avec une cravache. Tout s’explique… — J’imagine que tu sais lire ; l’inscription sur l’entrée n’a pas pu t’échapper.— Je… Je suis une deuxième année.— Ah oui ? Je n’ai pas souvenir de t’avoir croisée.— Moi non plus… Enchantée… Elle s’approche de moi, l’air toujours aussi sévère ; je recule d’un pas et me retrouve dos au mur. Elle me bloque avec son torse, écrasant ses seins sur moi. Le bustier abandonne la partie et laisse remonter à l’air libre deux tétons durcis. Elle glisse sa main sous ma jupe et pénètre sous ma culotte, caresse avec son index ma chatte trempée puis y enfonce deux doigts profondément. Elle approche ses lèvres de mon oreille, retire sa main de ma culotte et caresse tendrement ma fesse droite. — Les deuxième année ne portent jamais de culotte sous leur jupe. En un éclair elle abat sa main sur ma fesse, réveillant la douleur endormie. Accentuant sa pression, d’une seule main elle me retourne vers la sortie. — Allez, file ; et si tu t’aventures encore par ici, tu sais à présent ce qui t’attend. Je me précipite dehors ; j’embarque au passage mes affaires et remonte dans ma chambre. Je prends un moment pour reprendre mon souffle et mes esprits, puis je fonce avaler un ...
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