La rentrée
Datte: 17/04/2021,
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... contracte de plus en plus intensément. — J’aimerais en profiter un peu aussi, si tu veux bien. Estelle fait passer mes seins au-dessus de la nuisette. Elle pince avec force mes tétons déjà trop fermes, tire dessus, suce, aspire, lèche.« Quelle salope… Mais quelle salope ! » Je ne peux pas tenir, je suis complètement prise, paralysée, au bord de la jouissance ; je veux qu’on me libère, je veux que ça vienne. L’énorme bite doit lire dans mes pensées : elle accélère, par paliers. Estelle ne lâche pas mes pointes, les maltraite, les torture. — Allez, jouis ma petite cochonne… Enfin, tout se relâche ; la plénitude, la libération. Que c’est bon ! Combien de temps ça peut durer ? Une éternité, sans aucun doute ; le temps s’est arrêté, suspendu. La jouissance redescend lentement. Cette bonne grosse queue se retire. Je m’effondre sur les genoux. Impossible de contrôler mes jambes. Des gouttes chaudes tombent sur ma poitrine. Puis des giclées, qui commencent à dégouliner jusqu’à mon ventre. La porte s’ouvre à nouveau et se referme. Estelle enlève le bandeau. Elle est nue en face de moi, s’agenouille et plaque ses seins contre les miens, les frotte doucement puis se recule et étale le foutre en massant son buste par petits ronds, puis de plus en plus larges. Elle s’approche à nouveau de moi et vient laper jusqu’à la dernière trace le sperme répandu sur mon corps. Elle m’aide à me relever, me maintient par la taille et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue est chaude et agile. Elle ...
... se retire, et me susurre à l’oreille : — Bienvenue à l’école, Ève. Un dernier baiser posé sur mes lèvres, puis elle éteint la lumière et entre dans son lit. J’atteins péniblement la salle de douche, me passe un coup d’eau rapide sur le corps. Mes jambes commencent à recouvrer leur force. J’entends du bruit dans la chambre ; est ce qu’Estelle s’est relevée ? Qu’est ce qu’elle a encore prévu ? Je sors de la douche : tout est noir, je dois être un peu sonnée. Allez, au pieu. Ma nuit est un peu agitée. Une toute petite question me trotte dans la tête. D’autres trouveraient probablement ça sans importance, mais quand même : putain de bordel de merde, qu’est ce qui m’a pénétrée ? Estelle a probablement laissé entrer un homme, mais où est-ce qu’il se cache ? Je n’en ai vu aucun dans l’école depuis mon arrivée, et personne n’en a parlé jusqu’ici. Je ne vais pas réveiller Estelle, on verra demain. Quand même… — Grouille-toi, faut pas traîner pour ton uniforme. Je suis décalquée ; comment fait-elle pour être aussi en forme aussi tôt ? Quelle heure est-il d’ailleurs ? Six heures ? — Allez, il est presque huit heures ; t’auras pas le temps de petit-déjeuner si tu te dépêches pas.— Dis-moi, hier soir…— Pas le temps de causer, on verra ce midi. Lève-toi ! Debout, douche, fringues, c’est parti. Estelle me mène au dressing et part déjeuner. — Rejoins-moi quand tu auras fini. C’est vrai que c’est grand. Non : immense. On se croirait dans une bibliothèque, mais avec des étagères remplies de ...