La rentrée - Histoires de Sexe

La rentrée

... peu plus vite, ma coquine… » Je maintiens maintenant le rythme, mais le plaisir continue de monter. Je suis sur la voie. J’appuie plus fort la bite sur l’avant de mon sexe ; voilà, j’y suis. Rien ne peut plus m’arrêter, la jouissance est à moi.« Allez, baise-moi, ma grosse queue… je vais t’avoir ! » Le liquide chaud se répand en moi. J’ai perdu. — Allons, allons, on y retourne, Ève ! Sophie a l’air dépité ; elle regarde désespérément son entrejambe maculé de foutre dégoulinant de sa vulve sur ses cuisses. Je ne serai pas la dernière à venir aujourd’hui. — C’est pas possible, ça fait cinq fois ! C’est pire qu’avec mon ex !— Si vous écoutiez un peu… J’ai vous ai dit en début de cours de mettre sur la position 5 ; vous êtes restée sur 1 ! L’échec m’a bien fait redescendre, mais hors de question que je m’avoue vaincue. Je m’empale sur le dard. Mon bassin se met en branle, augmentant davantage la pression sur mes parois intimes à chaque mouvement. Ma main prend sa place naturelle sur mon clitoris.« Excuse-moi, je t’avais oublié, mon chéri. Tu es beau et dur ; on va prendre notre pied tous les deux. » À chaque descente, je me baise plus profondément ; la queue me perfore le fond des entrailles. Je la serre de plus en plus fort en moi.« Tu ne t’échapperas que quand j’en aurai décidé. » Enfin je ne vois plus rien, je ne ressens plus rien, à part le plaisir qui remonte de mon sexe, me transperçant tout le corps. Encore quelques coups, j’exulte : je jouis, putain ! Le perdant ressort, ...

... il doit être déçu. La salle est presque vide ; Élise a raccompagné à l’entrée une élève qui ne se sentait pas très bien. Sophie s’agite comme une folle sur son adversaire, passablement agacée. Je défais trois boutons de sa chemise et prends en main ses deux gros seins. — Pense au gros gode qu’on ira chercher demain. Je chuchote à son oreille en gémissant : — Pense à lui, bien planté dans ta chatte…— Dans mon cul ! Je passe le majeur sur ma fente encore bien humide, relève sa jupe et m’aventure un peu plus bas. La pulpe de mon doigt caresse son petit orifice. La voilà qui lâche un soupir miaulant. Elle profite de ses va-et-vient sur la queue pour s’appuyer un peu plus sur mon doigt. La pression est de plus en plus forte sur son anus ; je m’enfonce en elle d’un seul coup. Elle se contracte sur mon doigt, crie, se cambre et s’affale sur le tapis de jeu, extatique et béate. — Bravo !— Merci pour le coup de main… de doigt.— De rien, je ne savais pas que tu aimais ce genre de… pratique.— Tu n’aimes pas, toi ?— Jamais trop essayé.— Je te raconterai ma première fois ; depuis, je peux plus m’en passer. On aime ou on déteste. Moi, j’adore. Le réveil a sonné. Estelle a râlé. Je me suis douchée. Je suis presque prête quand Sophie frappe à la porte. — Mais qu’est ce que vous foutez debout si tôt ? Vous ne pourrez pas déjeuner avant huit heures.— On doit aller chercher des sous-vêtements pour le cours de cet aprèm.— Vous n’avez pas gym ?— À tout’ ! Nos deux voix parfaitement synchronisées ...