1. La rentrée


    Datte: 17/04/2021, Catégories: fh, ff, fff, fbi, copains, profélève, uniforme, grossexe, fépilée, école, fsoumise, fdomine, noculotte, vidéox, rasage, Oral fgode, fdanus, jouet, fouetfesse, délire, initiatiq, f+prof,

    ... précipitamment de moi. Sophie semble satisfaite. — Merci, Madame. Je me relève. Les jambes un peu cotonneuses, je remonte ma culotte. — Celles qui ont fini peuvent sortir ; fin des cours pour aujourd’hui. Les retardataires peuvent prendre leur temps pour terminer. Pas de précipitation, ce n’est pas un concours de vitesse ; je ne veux pas de coupures ! Nous sortons toutes les deux avec Sophie, et remontons vers nos chambres. — Encore désolée pour le ratage.— T’en fais pas, je trouve ça très joli comme ça.— Mignonne petite chatte, en effet. Je crois même que tu commençais à ronronner. J’éclate de rire ; la pression du premier cours retombe. — Allez, bonne soirée. On se croisera peut-être au repas.— À toute, ou à demain. Je rentre dans ma chambre et plonge sur mon lit. Qu’est-ce que c’est que cette école ? Je n’en reviens toujours pas d’être là. Je ne peux pas dire que je ne m’y sente pas bien, mais si l’on m’avait dit il y a deux mois que je serais là plutôt qu’en fac à écumer les boîtes… Estelle me tire de mes pensées et m’emmène manger. Petit repas léger. C’est l’occasion de discuter un peu, faire connaissance. Nous remontons assez tôt. Une petite douche avant d’aller me coucher. Hop, une nuisette rose en dentelle. Les mailles sont un peu larges mais je ne vais pas me balader en pleine rue ; pour dormir, ça ira très bien. J’inspecte mon sexe glabre avant d’enfiler une culotte. Beau résultat quand même. Je sors de la douche. Dans la chambre, les lumières sont éteintes. ...
    ... Estelle devait être pressée d’aller se coucher. Je me glisse le plus silencieusement possible vers mon lit. Une main saisit la mienne. — Tu ne pensais tout de même pas aller te coucher comme ça pour ta première nuit ici ? Il semblerait qu’Estelle ne dorme pas encore… — Viens par ici. Elle me guide vers le mur, m’y fait poser les mains. Elle appuie sur mes reins, forçant la cambrure. Ma nuisette est remontée au-dessus des fesses et ma culotte tout doucement descendue sur mes chevilles puis enlevée. Estelle m’écarte les cuisses. Elle me bande les yeux. — Maintenant, ne bouge plus. Pourquoi est-ce que je bougerais ? Je ne suis pas venue ici pour avoir peur de l’inattendu. L’interrupteur est actionné. Elle veut me voir en pleine lumière ? La vue sur mon sexe ouvert doit être totale. Elle a bien caché son jeu. J’entends la porte s’ouvrir, puis se refermer. Elle veut m’exposer à ses copines ? C’est un bizutage ? Je sens une pression sur l’entrée de mes lèvres. De plus en plus forte. Ça me pénètre. C’est un gode ? Non c’est très doux, et chaud, mais tellement gros. Ça m’écarte les chairs, s’enfonce de plus en plus ; je me sens remplie, mais ça avance encore et encore. Je sens l’engin enfin reculer jusqu’à presque ressortir de mon orifice ; mais à ce moment, il s’engage à nouveau, plus vite, plus fort. Les mouvements se succèdent, de plus en plus rapides, puis le rythme se maintient et devient très régulier. Mes cuisses sont figées, mes muscles tétanisés, l’intérieur de mon corps se ...
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