1. Une sœur pas comme les autres (2)


    Datte: 18/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Cela fait une semaine. La fin des vacances approche à grands pas. J’ai encore une semaine avant de rentrer dans mon logement étudiant, un petit meublé loué à un couple de retraités. Cela sera également la dernière année de mes études. A 24 ans, il est grand temps. Alors que je devrais reprendre contact avec mes camarades de classe, alors que je devrais chercher les informations nécessaires à propos de mon horaire et des livres à commandes, j’ai l’esprit tourné vers ma sœur. D’ailleurs, je ne pense pas vous avoir donné son nom. Laura. Un nom tout aussi banal que le mien. Un peu passe-partout. Mais ce n’est pas à son nom que je pense, plutôt à ce qui s’est passé la semaine dernière. Tous mes potes aiment se faire sucer. Je pense que certains – même – ont imaginé ma sœur acharnée sur leur queue. Moi, cela s’est passé pour du vrai et je n’en reviens toujours pas. Je ne suis plus descendu me branler la nuit. Enfin, si, je descendais dans ce vieux divan laid et me mettais en route mais je ne pouvais pas. À chaque fois que je fermais les yeux, je voyais sa chevelure brune et sa tête monter et descendre sur ma queue. Lorsque je gardais les yeux ouverts, sa tête prenait la place de celle de l’actrice de ces vidéos amateures que j’affectionne particulièrement. D’ailleurs, involontairement, toutes les vidéos essayées mettaient en scène des brunes. Elle n’était pas laide, pas du tout. Même pas banale. Jolie, vraiment. Je n’ai jamais vraiment porté un regard sur elle, ça ne m’a jamais ...
    ... traversé l’esprit mais maintenant que j’écris ces lignes, cela m’apparaît comme une évidence. Elle attire les hommes sans aucun problème. Une peau nette, légèrement bronzée. Des formes à la fois bien dessinées et discrètes. Cela rend cette fellation encore plus invraisemblable. Si elle avait été laide, j’aurais pu me dire qu’aucun mec ne la désire et qu’elle avait besoin de s’épancher sur moi. Là, non. D’ailleurs, si elle avait été moche, peut-être que je n’aurais pas joui. Je regarde mon radio-réveil. Un objet vintage. C’est marrant car d’habitude, je prends mon portable pour voir l’heure. Huit heures passées. Certains diront que c’est tôt pour se lever en période de vacances. J’ai toujours été un lève-tôt et cette heure matinale est l’équivalent d’une grasse matinée pour d’autres. Malgré la fraîcheur qui revient en ce début septembre, après la canicule estivale, je porte un short et un t-shirt. Une tenue des plus banales, il faut l’avouer. Je me dirige vers la cuisine et vois ma mère terminer de s’apprêter. Je fronce doucement les sourcils avant qu’elle ne me rappelle que c’est la journée « Portes ouvertes » au travail de mon père. Enfin, je ne sais pas vraiment le terme. Chaque travailleur peut venir accompagné de son ou sa partenaire et participer à différentes activités payées par l’entreprise. Généralement, mon père revient toujours avec un verre dans le nez et ma mère, épuisée mais contente d’avoir fait son sport de l’année. Je hausse les épaules. Cela fait des années que ...
«1234»