Une sœur pas comme les autres (2)
Datte: 18/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... ma mère s’adresse de la même manière avec moi. Je prends le paquet de céréales, encore sur la table et me sers un bol. Oui, je sais. J’ai vingt-quatre ans et je bouffe encore des céréales le matin. Seulement le week-end, si vous voulez savoir. Cinq minutes plus tard, je me retrouve seul dans la cuisine, assis avec une tasse de café, mâchant mes céréales. Je me redresse, d’un coup, lorsque j’entends les marches craquer. J’ai complètement oublié la présence de ma sœur. D’ailleurs, il est bien tôt pour qu’elle se lève, ce qui m’étonne. Et, surtout, c’est la première fois en une semaine que je me retrouve seul avec elle. Apparemment, avoir reçu mon foutre dans sa gorge ne doit pas l’avoir gênée. Elle s’était comportée normalement toute la semaine alors que j’étais terriblement gêné à chaque fois que je me retrouvais en sa présence, prétextant à ma mère que j’étais juste fatigué, d’où mon comportement étrange. Et pendant cette semaine, je dois vous l’avouer, je l’ai regardée. C’est ainsi que j’ai pu me rendre compte qu’elle était vraiment canon, loin de la gamine de huit ans qui jouait avec moi, à des jeux stupides d’enfants. Et je peux comprendre que certains potes aient envie d’elle, même si cela me répugne. C’est ma petite sœur. Et même si nous ne sommes pas très complices, l’imaginer faire des choses me dégoûte. Je crache presque ma bouchée de céréales lorsqu’elle entre dans la cuisine. Une petite nuisette. Je sais qu’elle en porte de temps en temps pour dormir. Il m’arrive ...
... de devoir plier le linge. Ma participation dans les tâches ménagères. Pourtant, il ne me semble pas d’en avoir jamais vu d’aussi sexy. Violette. À moitié transparente, cachant simplement sa poitrine et son maillot. Je ne sais pas ce qui me prend mais je me mets à rougir et à la détailler. J’ai le cœur qui bat un peu plus vite et rapidement, je détourne le regard, chamboulé par mon comportement et surtout, par le fait que j’aimais ce corps. Cela fait une semaine que je ne me suis plus touché. Et il était facile d’invoquer cette raison pour expliquer la gaule que j’ai en ce moment. Je décide de rester assis pour éviter qu’elle la voie. Elle arrive, cependant, à capter mon regard, souriant doucement avant de s’asseoir en face de moi, sur le tabouret. Elle n’a pas croisé ses jambes. L’étoffe courte remontant sur ses cuisses, légèrement halées et douces. Mes yeux remontent également avant que je ne stoppe et me lève, filant d’un pas rapide dans ma chambre. Y arrivant, je suis essoufflé. Ce n’est pas la vingtaine de marches qui me coupe le souffle mais mon comportement de plus en plus incohérent. J’essaie de me ressaisir. Je mets ça sur le compte de ma semaine d’abstinence, faisant les cent pas, dans ma chambre, réfléchissant sans vraiment le faire. Au bout d’une dizaine de minutes, voire une vingtaine, elle monte à son tour et, rapidement, j’entends l’eau de la douche couler. Je me suis arrêté, l’oreille dressée, les sens en alerte. Encore une fois, je suis perdu, je ne sais pas ce ...