Une sœur pas comme les autres (2)
Datte: 18/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... qui me prend. Je ne sais pas si mes pas me conduisant vers la porte de la salle de bains sont le fruit d’une idée quelconque ou d’un réflexe. Je ne sais pas si je veux me montrer que ce corps ne me fait rien ou, au contraire, me rincer l’œil. Je ne tente même pas de savoir la raison pour laquelle la porte de la salle de bains était entrouverte. Seule ma tête dépasse. Au sol, sa nuisette violette. Aucun sous-vêtement. Le fait de la savoir nue sous sa tenue provoque en moi un désir charnel, au creux de mon ventre. Mais que suis-je en train de devenir ? Un souvenir me vint à l’esprit. J’étais plus jeune. Mon père était chez son frère, je pense. Ma mère se lavait alors que Laura était en bas, en train de regarder des conneries de dessins animés à la télévision. La porte était également mal fermée. Je montais chercher un livre lorsque ma curiosité me poussa à jeter un œil. Elle n’avait pas encore passé la quarantaine mais y étais proche. Dès que mon regard s’était posé sur elle, j’avais bandé. Des seins ronds et lourds, encadrés par de longues mèches noires sur un corps blanc, soulignant le brun de ses mamelons. Mes yeux s’étaient dirigés vers sa main, glissant sous sa toison fournie. Elle avait les yeux fermés et j’étais en quelque sorte hypnotisé. Ce n’est que le soir, dans mon lit, que j’ai compris qu’elle se faisait du bien. Et je me suis aussi fait du bien, me remémorant son corps. Je chasse ces idées de ma tête. Ma sœur est sous la douche, dos tourné. Ma main se glisse sous ...
... mon short, sous mon boxer et mes doigts s’emparent de ma verge. Mes yeux vagabondent, démarrant de ses omoplates, descendant jusqu’à la chute de ses reins et ses fesses. Galbées. Ma main commence lentement à se mouvoir. Je suis assez proche pour observer une petite tâche de naissance sous sa fesse droite. Mignonne. Je la trouve mignonne, à la fois cette tâche et je dois l’avouer, ma sœur. Elle se lave les cheveux. J’arrive à capter un bout de téton. Contrairement à ceux de ma mère à l’époque, ma sœur les a encore rosés. Et je les trouve bandants. Elle se retourne pour prendre le shampoing et je peux, ainsi, admirer la vue. Elle regardait parmi tous les flacons posés alors que je peux voir la rondeur de sa poitrine mais chers lecteurs, mon regard se pose rapidement entre ses cuisses. Elle a une fine ligne de poils noirs, un petit ticket de métro et comme ma mère, il y a de longues années, sa main vient se loger entre ses cuisses, l’autre caressant sa poitrine. Je me mords la lèvre, émettant un petit gémissement. Elle arrête son mouvement quelques instants avant de poser un pied sur le rebord de la baignoire. Pris de panique, je me redresse et me dirige d’un pas rapide dans ma chambre. J’avais encore la queue dressée du spectacle. Le cœur battant en chamade. Ma main se porte à mon sexe et je continue durant de longues minutes mes mouvements lorsque je reçois un bip sur mon portable, m’avertissant d’un message. Je regarde le nom l’expéditeur. C’est une expéditrice. Ma sœur. J’ai ...