1. Banquière perverse (7)


    Datte: 18/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Je viens de me réveiller, la douce Gladice dort paisiblement dans le creux de mon bras ; elle est belle comme un cœur. Je ne peux m’empêcher de la caresser sous le drap, son corps si tentant m’attire. Sur sa peau si douce et si fraiche, mes doigts courent vers l’endroit que je préfère chez elle, en faisant une halte sur ses seins, ses tétons s’émoustillent sous la légère pression de mes doigts que je leurs inflige. Sonpubis commence à piquer un peu ! Elle se rase et ne s’épile pas ? Ses jambes s’ouvrent un peu ; c’est un appel ! Alors mes doigt passent et repasse sur ce petit passage humide où son bouton durcit en même temps que mon plus grand ami. Ses cuisses s’ouvrent en grand, elles confirment que je dois y aller ; alors j’y vais. Je viens sur elle et entre avec délicatesse dans son écrin si doux, si secret ; elle ouvre un œil, puis l’autre et me sourit. Sa bouche attire la mienne, nos langues se disent bonjour ; mon cœur bat fort. Je suis rempli de bonheur, je n’ai pas envie de sortir de là où je suis, je suis si bien là ; je vais l’aimer comme hier soir… La porte s’ouvre à grands bruits, suivit de hurlements ; je, nous sursautons, Madame est là ! Hirsute, plantée devant la porte de la chambre, les poings sur les hanches ; elle hurle : — Gladice ! Mais qu’est-ce que tu fais, j’attends mon… ! Mais qu’est ce qu’il fait là celui-là ? Je ne vous ai pas autorisé ! Issam ! Sort de cette chambre ! hurle-t-elle en arrachant le drap qui nous recouvre Je suis exposé à son ...
    ... regard, les fesses à l’air et mon sexe en Gladice. Elle commence à me gonfler sérieusement cette bonne femme ! Alors, moi aussi je hurle. — D’abord, bonjour ! Et ensuite c’est quoi le souci, t’es jalouse ? Tu veux que je te baise ton gros cul ? Vu ta tenue, c’est ce que tu veux ; hein ! — Mais… Sa tenue ? Parlons-en, elle est à poil sous son kimono grand ouvert. Ses gros seins lui tombent sur le ventre et son ventre recouvre presque toute sa chatte épilée. — Vas-y Heubi, baise-là ! me-crie Gladice. Surpris, je la regarde… et me jette un énorme clin d’œil. Heubi, c’est mon deuxième prénom ; mais comment a-t-elle fait pour le trouver ? Bref ! C’est un ordre, qu’elle vient de me donner ? Je lui rends son clin d’œil et je culbute Madame sur le lit. Je lui attrape les deux seins au niveau des mamelons et je tire vers moi. Mon excitation est telle que j’entre d’un coup toute la longueur de ma queue et je lime, et je lime, et je lime encore. — NON… ! non… Ohhh…Ahhh …Ahhh…oui…Ouiiii…continue …encoreee… ! J’accélère encore et encore, je suis une machine ; mes cuisses tapent sur ses fesses et mes couilles contre son cul. On croirait une machine à vapeur : et Pan ! et Pan ! et Pan ! je la pistonne à un rythme soutenu et régulier. — J’arriveee… ! Ah, ouiiii… !putain… ! Ah, je vais…joui…jouir… ! Je jou…ouie… Oh oui…! Je jouieee… ! Ouieee…. ! — Quoi ! C’est quoi ce bordel ? Maman… ! Mais qu’est ce que tu fais ?...MAMANnnn… ! — Lac…Lac… ! — T’es qu’une salope…tu m’as trahi …je te hais ! hurle ...
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