1. Banquière perverse (7)


    Datte: 18/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sous sa robe, par derrière, mais voilà… Ce trajet est un véritable calvaire, heureusement nous sommes arrivés à la station « République » et je la guide vers mon appartement en tentant de cacher le devant de mon short tant bien que mal. Deux tours de clé, rendues par Madame, ouvrent la porte de mon minuscule appartement. Du regard, elle fait le tour de l’unique pièce. — Comment on fait pour les meubles ? — J’en ai pas, c’est un meublé ; moi, j’ai juste ça. Gladice découvre les seules choses qui m’appartiennent : une valise, quelques fringues démodées, mon téléphone et son abonnement suspendu par l’opérateur, mon portefeuille avec mes papiers, une photo de ma famille restée au bled et un billet de dix euros ; voilà toute ma fortune. Pendant que je boucle ma valise, Gladice donne un coup de propre puis nous partons en direction de l’agence de location toute proche ; nous entrons. Au comptoir une dame toute ridée malgré l’épais maquillage, l’air acariâtre, nous regarde avec un air qui donne plus envie de partir en courant que d’engager la conversation. — Bonjour madame, je viens vous rapporter les clefs de mon ...
    ... appartement. — Vous êtes ? — M Dilachaud… — Ah, oui c’est vous qui ne payez pas votre loyer ! Je vais regarder votre compte. Michelle ! Apporte-moi le compte de Monsieur Dilachau… j’sais pas quoi ! Une voix répond : — Tout est en ordre, j’ai eu sa banque au téléphone et nous venons de recevoir le virement. — Ah, quand même ! Ça été laborieux, si tout le client étaient comme vous… — Bon ! Vous avez votre fric ; alors arrêter de nous casser les couilles ! Allez, viens on se casse ! Le coup de gueule de Gladice me laisse sur le cul. Nous repartons, direction le métro et le salon de l’esthéticienne. Je suis tellement surpris par la réaction de Gladice que je ne sais que dire, en chemin : — Oh ! Tu as vu cette vieille rombière, de quoi elle se mêle ? — Tu sais, elle n’avait pas vraiment tort. — C’n’est pas une raison pour nous casser les couilles ! T’es pas d’accord ? — … — On va déposer ta valise dans une consigne à la gare de Lyon et on la récupérera tout à l’heure, au retour. — On va où maintenant ? Il est midi et on rendez-vous à quatorze heures. — Tu as faim ? Moi oui, alors direction la brasserie de la gare. [À suivre] 
«1234»