Banquière perverse (7)
Datte: 18/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... douche, nous la prenons ensemble simplement, sans câlins, chacun pour soi. Je me satisfais largement du spectacle que m’offre Gladice. Ses courbes, ses formes harmonieuses et désirables me donnent envie de la toucher et de palper sa peau légèrement hâlée. Elle me fait la démonstration d’une toilette méthodique, chaque produit est utilisé juste au bon moment. La fleur de douche tourne, frotte partout et caresses aussi les endroits sensibles ; sans se soucier qu’en face une paire d’yeux observe et détaille chaque mouvement, chaque geste. D’un naturel impudique une jambe se lève, dévoilant une vulve fine et légèrement étirer. Le pied, en appui sur le rebord de la baignoire, ouvre encore plus sonentrejambe et laisse passer les doigts agiles de cette main savonnée. Ils fouillent cet endroit si intime, frottent, palpes et disparaissent dans la cavité. L’eau s’écoule doucement du ciel de douche sur ses cheveux et ruisselle en un doux torrent qui, passant entre ses seins alimente en eau sa jolie cavité. Elle ferme les yeux, fort ; la main qui tient la fleur de douche se crispe et en fait sortir toute l’eau qu’elle contient. La main ne bouge plus, les doigts non plus ; elle se mord les lèvres, son visage se fige et ces sourcils se froncent. Son ventre la trahi, l’orgasme est là, bien présent ; elle jouit en silence. — Ça y est, tu as fini, me dit-elle. J’ai le sourire aux lèvres. — Et toi ? C’avait l’air super… ? — Ah, tu as vu ? Et bien oui, puisque je suis obligée de me débrouiller ...
... seule. Dépêche-toi, nous avons du boulot. J’ai une subite envie de l’embrasser, de la câliner encore une fois ; j’approche mes lèvres, hélas je n’ai le droit qu’à un tout petit bisou et une petiteclaque sur la fesse. — Plus tard, allez ; bouge ! Alors je me bouge, pour sortir j’ai droit à un short trop serré, un tee-shirt trop court et mes claquettes à la bonne taille, ma tenue l’amuse ; le soleil de printemps me réchauffera bien ! Pour elle, une mini robe et des mules sans talon ; un minuscule sac en bandoulière termine sa tenue. — Nous prendrons le métro, on y va ? — C’est parti, tu n’as pas peur de te faire toucher les fesses dans le métro, avec cette robe ? — Je m’en fous, j’aime ça. Son regard est suffisamment explicite pour que je sente que ce trajet, cette journée, va être une pure merveille. Dans le métro bondé, l’air est quasiment irrespirable, ballottés dans tous les sens nous sommes collés les uns aux autres. Gladice appuie ses fesses contre mon sexe et elle amplifie chaque mouvement du wagon ; je commence àbander. Mon short trop étroit a du mal à contenir mon érection ; Gladice bascule sa tête en arrière, avec un regard coquin et satisfait de ce qu’elle en train de faire, elle me chuchote : — C’est cool le métro, non ? Je n’ose répondre car j’essaye de me concentrer sur autre chose pour oublier ce cul qui me frotte le sexe ; si elle continue je vais finir par éjaculer ! S’il n’y avait pas tout ce monde, je pourrais baisser un peu mon short et la prendre comme ça ...