Vendredi 07 août
Datte: 03/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Vendredi 07 août 2015, comme convenu tu me retrouves à l'Auberge d'Ailliane. - Je t'ai réservé une petite surprise. À ce moment, nous rejoignent Béatrice ton amie d'enfance et son compagnon Bertrand, un parisien mince, grand, à l'allure décontracté. Présentation. Apéritif. Le repas se déroule agréablement et nous apprenons que ce Bertrand rédige des enquêtes publiques. Il est en quêtes de renseignements que tu te propose de lui fournir s'agissant de ton domaine professionnel. Hésitations, suggestion, la décision est prise, nous irons tous les quartes à son hôtel. Vous, pour travailler, pendant que Béatrice et moi profiterons de la piscine du Best Western Hôtel de l'Arbois. - Ce ne serait pas un coup monté par hasard? En plus je n'ai pas de maillot de bain pour venir vous rejoindre dans l'eau. Je suppose que tu as prévu le tien? - Pas du tout! Je compte sur Bertrand pour m'en prêter un. Arrivés à l'hôtel, vous vous enfermez dans sa chambre, pendant que la blonde en mini maillot brésilien et moi en boxer prêté par son ami, allons à sur les plages de bois au bord de la piscine. De la fenêtre ouverte du premier étage tu nous fais des signes et tu as une vision parfaite de là où nous nous installons. Je suis de corvée de crème protectrice contre le soleil. Corvée agréable surtout dans les plis des fesses et après s'être retourné, à la naissance du renflement du sexe de la belle juste au dessus du micro maillot. Je confesse que je prends un plaisir malicieux dans cet exercice. ...
... Il faudrait plutôt parler de caresses qui ont aussi l'air de lui plaire à en juger par son attitude alanguie. Nous sommes séparés des rares clients de la piscine par des jardinières plantées d'épais bambous. Seules les chambres de l'étage peuvent nous surprendre. Les yeux mi-clos ma voisine bien enduite te guette aussi au travers de ses lunettes de soleil. D'une main, elle tire sur la ganse de son string et le retire d'un coup sec, de l'autre me prend fermement le poignet et dirige ma main sur son entrejambe. Il m'est impossible de résister au plaisir de flatter ce pubis saillant blanc, tendre, et attirant. Alléchant au sens propre comme au figuré, d'ailleurs n'y tenant plus, je m'approche de sa fente rebondi et entreprend de la lécher délicatement. Doucement j'ai entouré de ma langue un clitoris généreux et l'attire dans ma bouche pas succion. La réaction était prévisible, notre Sharon Stone ouvre les jambes dans des mouvements saccadés avant de laisser couler des jets orgasmiques tièdes qui m’excitent à me damner. Elle se retourne et je me jette à l'eau pour refroidir mon phallus ardent. Tu es toujours accoudée à la fenêtre et tu agites un poing serré. - Je crois que c'est le moment de la libérer. Indique au téléphone, Béatrice à son interlocuteur. Bertrand pose son portable et s'adresse à toi avec hésitation. - Je dois te dire que Béatrice et ton mari t'ont monté un coup pour tester tes dispositions au libertinage. J'avais la mission de te retenir pendant que ton chéri se ...