Vendredi 07 août
Datte: 03/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... ta bouche, tes mâchoires s'écartent au maximum, seul le gland est pompé les lèvres tendues, et tes deux mais s'activent pour une masturbation XXL jusqu'à la l'explosion de lave de spermes que tu goûtes sans dégoût. Tu réalises que la mission n'est pas remplie et tu demandes au black de te porter sur son comptoir pour une photo souvenir. Il te prend par la taille et vos corps nus se frôlent. Tu réalises que son gourdin est remonté, menaçant. Tu respires des effluves émanant de son corps. Exaltation des sens, attirance animale. Il te projette sur la banque et prend la photo que tu lui as demandée. Le temps s'arrête un court instant. Tu aurais dû réagir, bouger, déguerpir. Il n'en a rien été, ton corps est paralysé, ton sang, ton cœur bat la chamade. L'homme lui, sait maintenant que tu t'offres sans avoir besoin de parler. Il s'est rehaussé aidé de la banquette et t'attire à lui, tu te laisses tirer par les chevilles que tu refermes sur ses cuisse pour l'emprisonner. Tu as remonté tes genoux le plus possible pour faciliter sa pénétration que tu souhaites et que tu redoutes aussi. Tu es tétanisé à la vue de ce membre sombre et brillant qui s'approche de ton fourreau, si lisse, si blanc et néanmoins si mendiant, si brûlant d'impatience. Il prend son sexe pourtant bien tendu dans ses mains et le guide à l'orée de ton puis ardent. Il se présente, doux et encombrant, pousse, s'insinue, occupe toute la place, semble encore grossir en toi, tu respires fort, plaisir et douleur se mélangent, tu sais qu'en quelques mouvements tu ne pourras plus retenir un ras de marré de jouissance. Tu vois pourtant cet homme prévenant, retenir la moitié de son phallus, qui cogne déjà au fond de ton antre. Tu succombes d'aise impudique, et de souffrance sensuelle. Une caresse en signe d'adieu et tu te remets sur tes pieds. D'un pas hésitant, tu me rejoins discrètement.