Vendredi 07 août
Datte: 03/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... que nous enfilions un jean ou que tu t'enroules dans une serviette. Elle ouvre la porte, nue comme un vers et s'engage dans le couloir, les mains sur les hanches dans une démarche digne d'un défilé de mode. À l'accueil, le réceptionniste reste cloué sur son comptoir, devant deux couples qui se retournent abasourdis. Les hommes glapissent de joie pendant que leurs femmes grognent et se demandent si elles ont fais le bon choix d'hôtel. Nous nous installons autour d'une table basse et commandons un apéritif dînatoire près de la piscine. Plus tard la musique est de mise et nous alternons baignades, slows et coupes de champagne jusqu'à complète desinhibition. Nous ne somme pas les seuls d'ailleurs car à une table plus loin des couples dansent nus et se trémoussent. A coté, on distingue un couple faisant l'amour sans vraiment se préoccuper des autres. Nous choisissons de ne pas déroger et nous voilà tous nus. Béatrice engage les familiarités coquines en venant s'installer sur mes genoux et naturellement une érection intense se libère au contact de ses fesses. Tout en parlant elle se caresse et je constate qu'elle mouille déjà quand elle met ses doits dans ma bouche. Elle écarte lentement mes genoux et mon sexe trouve naturellement le chemin de sa vulve humide. Je reste immobile, on ne se quitte pas des yeux et je m'aperçois que tu n'es pas inactive puisque tu as les jambes repliées et je distingue un mouvement régulier de ton bras. L'excitation était trop forte, au bout de ...
... quelques minutes ne pouvant plus me contenir je jouis alors que tu sembles en faire tout autant. La soirée tiré à sa fin, nous saluons nos amis et regagnons notre chambre avec la tête qui nous tourne un peu. En sortant de la douche tu reçois un SMS: "Il me semble que tu as relevé mon pari et que je l'ai gagné ! Ton gage sera d'en faire autant cette nuit. Il faudra fournir une preuve en te prenant en photo, disons allongée sur le comptoir de la réception. Signé Béatrice." Tu te convaincs que ce ne sera qu'une formalité, au milieu de la nuit il y a peu de chance de rencontrer du monde. Nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Plus tard, profitant d'une envie de pipi, tu éclipses sans oublier ton téléphone pour la photo. Bien. Le couloir est désert, personne dans les escaliers, le réceptionniste n'est même pas là, trop facile! Penses-tu. Tu fais le tour de la banque de l'accueil et découvre une banquette occupée par l'employé les yeux clos, affairé à s'astiquer un chibre extraordinairement long et épais. Le gars ne t’a pas entendu arriver. Tu es paralysée ne voulant pas l'interrompre et impossible de détacher les yeux de ce corps luisant d'un noir ébène. Ce sexe effrayant, envoûtant te sembles démesuré. Ton imagination te joue des tours, tu te demandes si ce monstre attirant pourrait s'enfoncer en toi. Tu t'approches, il te sourit, tu t'accroupis, tes doigts glissent sur cet organe semblable à une batte de baseball. Pour tenter d'absorber un peu de ce sexe dur et tendre dans ...