Madame S, comme Succube - Histoires de Sexe

Madame S, comme Succube

Madame S., comme Succube… Succube : (n.m) démon femelle qui, selon la tradition séduit les hommes durant leur sommeil. Madame S., la quarantaine florissante, les yeux bleus, les cheveux blonds, des formes qui feraient tourner la tête de n’importe quel homme normalement constitué. De par sa profession d’enseignante, elle contribue à faire vivre le fantasme de tout écolier : coucher avec sa maîtresse d’école ! Madame S. est selon ses propres termes une épicurienne, ce qu’elle omet de préciser à cause de son côté joueur, c’est qu’elle est une épicurienne du sexe. Elle ne pourrait se passer d’hommes et est toujours, encore selon ses propres termes, dans la couche, sexuellement hyperactive. Elle ne rechigne jamais à vivre de nouvelles expériences. C’est avec cette envie d’expérimenter de nouvelles sensations qu’elle se décida à participer à une soirée de « célibataires », dans un lieu de rencontre, endroit privilégié pour trouver un partenaire d’un soir. Ce qu’elle ignorait au moment où je lui indiquais cette manifestation, c’est que ces soirées dérapaient souvent vers de véritables orgies romaines dans la plus pure tradition. Le fameux soir était enfin arrivé, Madame S. s’était préparée en conséquence, robe noire semi transparente, décolleté plongeant aussi bien devant que derrière, bas autofixants, chaussures à talons d’une hauteur vertigineuse et string de dentelle noire, bref une tenue qu’il serait très facile d’enlever au cas où il y aurait une urgence ! Après 45 ...

... minutes de route, elle arriva enfin à l’adresse que je lui avais indiquée, un gros château-ferme dans les Ardennes. Toutes les fenêtres en étaient éclairées, la cour intérieure était transformée en un parking qui était quasiment plein et un flot régulier de gens franchissait les marches menant à la porte d’entrée. Madame S. avait laissé sa voiture et marchait désormais vers l’entrée, lorsque son attention fut attirée par des bruits venant d’un coin sombre, derrière la camionnette du traiteur. Elle s’approcha pour découvrir quelle en était la source et qui lui semblaient familiers. Elle découvrit alors un indice sur la véritable nature de ce qui se passait à l’intérieur des murs de cette propriété, il y avait là, sous ses yeux, deux jeunes serveurs (à voir leurs visages Madame S. estimait leur âge à la vingtaine tout au plus). Ils avaient le pantalon baissé sur les chevilles et une femme en robe du soir, dont le décolleté avait été ouvert et laissait échapper ses seins, était à genoux devant eux en train de leur administrer une fellation digne d’un film pornographique. Madame S. n’en croyait pas ses yeux, un spectacle surréaliste s’offrait à son regard, ces deux jeunes hommes se faisaient pomper le dard par cette femme d’une quarantaine d’années. Elle aussi semblait douée à voir le visage déformé par le plaisir des deux hommes et les râles qu’ils ne pouvaient retenir. Madame S. aurait voulu cesser de les regarder, mais quelque chose en elle l’empêchait de détourner les yeux. ...