Madame S, comme Succube - Histoires de Sexe

Madame S, comme Succube

... était en fait constitué de préservatifs de toutes sortes. A cette vision elle sourit, tout en étant impressionnée par la quantité de petits sachets multicolores : le récipient faisait dans les 50cm de diamètre sur environ 80cm de hauteur et était encore rempli presque à ras bords. Madame S. comprit alors que la scène qu’elle avait « surpris » dehors était relativement anodine, vu l’objectif de la soirée où elle se trouvait. Elle prit une petite poignée de préservatifs et continua son exploration de l’endroit. À part les trois personnes en train de forniquer sur le parking, Madame S. n’avait rien vu d’autre de bizarre. Mais au détour d’un petit salon, les choses sérieuses semblaient commencer. En effet, plus elle avançait dans le château, plus les convives étaient dénudés et paraissaient perdre leurs inhibitions. L’impression générale était que dans ce château les femmes décidaient : où que le regard de Madame S. se posât, chaque femme avait plusieurs hommes pour combler ses moindres envies, dans chaque petit coin salon, il y avait plusieurs couples ou trios occupés à baiser (tantôt avec douceur, tantôt comme des animaux), autant dire que cette ambiance n’aidait pas Madame S. à calmer ses pulsions qui avaient été éveillées par les ébats qu’elle avait surpris sur le parking. Au détour d’un couloir, Madame S. tomba sur une pièce dont la porte était entrouverte, elle s’y glissa sans bruit. Là, elle s’abandonna encore à des penchants voyeuristes dont elle ne se savait pas aussi ...

... friande. Sur un lit à baldaquin était allongé un homme. Il était attaché par les poignets et les chevilles et était livré à deux femmes d’une trentaine d’années. L’une était littéralement assise sur le visage de l’homme et l’autre était empalée sur sa bite. Madame S. n’aurait pas pu mettre d’âge sur cet homme, vu que son visage lui était caché, mais elle voyait qu’il était fort bien membré. Elle s’assit dans un fauteuil et regarda ce nouveau trio se donner du plaisir. Les deux femmes étaient totalement débraillées, les seins sortis de leurs vêtements, les dessous autour des chevilles, mais elles semblaient totalement ignorer Madame S. qui les observait. Malheureusement, le spectacle tourna court, car l’homme fit jouir quasi simultanément les deux femmes qui l’abandonnèrent là sans autre forme de procès. Cela permit à Madame S. de voir le bas du visage de cet homme, il avait semble-t-il moins de 30 ans. C’est ce qu’elle pouvait deviner, car il avait les yeux bandés et le reste du visage luisant de la mouille d’une de ses tortionnaires. Madame S. aurait bien voulu profiter elle aussi de cet homme à la queue encore fièrement dressée vers le plafond, mais elle renonça et sortit de la pièce. Cela commençait à bien faire, Madame S. ne pourrait plus se retenir très longtemps si elle tombait sur ce genre de spectacle au détour de chaque couloir. Lentement, un imperceptible changement s’opérait en elle et un raisonnement faisait son chemin dans son cerveau, de plus en plus martelant à ...