-
Madame S, comme Succube
Datte: 19/04/2021, Catégories: f, fhh, ffh, fhhh, parking, fête, hsoumis, facial, Oral 69, fgode, préservati, Partouze / Groupe
... chaque minute et consistait en une courte phrase : « Et pourquoi pas moi ? ». C’est avec cette maxime qui lui hantait l’esprit que Madame S. continuait à déambuler dans le château. Dans chaque pièce où elle entrait, elle était témoin de nouvelles débauches débridées où des femmes de tous âges profitaient sans aucun tabou d’hommes jeunes et totalement à leur merci. On aurait dit que cette soirée n’était qu’un reflet d’un monde à l’envers où les hommes jeunes étaient relégués au rang d’objets de plaisir. Madame S. était excitée à l’idée de cette vision des choses toute nouvelle pour elle. Et tandis qu’elle arpentait les couloirs, avançant dans ce monde de perversion où n’existait aucune moralité apparente, ses dernières inhibitions s’évanouissaient à tel point qu’au détour d’un corridor, elle tomba nez à nez avec un serveur. Elle l’empoigna par la chemise et le colla au mur. Elle l’embrassa à pleine bouche, l’homme ne se défendait pas et ne faisait aucun geste. Madame S. plongea alors son regard dans celui du jeune homme, elle n’y lisait que de la soumission. Elle l’entraîna alors vers une alcôve proche où se trouvait un fauteuil, elle posa son pied sur l’accoudoir et releva sa robe pour exhiber son intimité devant le jeune homme. Elle le foudroya du regard et lui ordonna : — Lèche ! L’homme se jeta à ses genoux, comme s’il était un soldat de rang inférieur qui reçoit un ordre d’un général et il s’appliqua à écarter le string de Madame S. et de lui dévorer consciencieusement ...
... la chatte à pleine bouche. Madame S. profitait tant et plus de cette caresse buccale, et plus les coups de langue la faisaient sombrer dans les abîmes brumeux de l’orgasme, plus elle se répétait que ce garçon était trop doué pour en être à son premier cunnilingus. Mais à peine était-elle arrivée à cette conclusion qu’elle fut foudroyée par son premier orgasme de la soirée. Enfin toutes les tensions sexuelles accumulées à regarder les autres baiser s’évacuaient, elle pressait le visage du jeune homme contre son intimité dégoulinante et lui déversait sans aucune gêne sa mouille dans la bouche. Et lui avalait tout ce qu’il pouvait, sans aucune pudeur, sans aucune discrétion et surtout sans aucun dégoût : un gros chien qui boit dans un bol de lait aurait fait moins de bruit que lui …et ne se serait pas autant régalé ! Elle maintint l’homme dans cette position jusqu’à ce qu’elle eût fini de jouir, puis se laissa tomber dans le fauteuil sur lequel elle avait pris appui. Il était à genoux, le visage nappé de mouille grasse, une bosse déformant son pantalon tellement il bandait ferme. Madame S. se rhabilla et lui dit : — Pars maintenant et ne t’essuie pas le visage, que tout le monde voie bien ce que tu viens de faire ! L’homme se releva, ramassa son plateau et reprit son service comme si rien ne s’était passé, mais alors qu’il venait de quitter Madame S., il croisa une femme dans le couloir ; elle le dévisagea et lorsqu’elle fut à hauteur de Madame S., elle lui adressa un sourire ...