Les surprises du camping
Datte: 19/04/2021,
Catégories:
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vacances,
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Oral
hsodo,
C’est l’été ; le mois d’aôut, et nous partons faire du camping. Comme tous les ans. Comme tous les ans, nous allons retrouver la famille, les amis et les habitués, toujours les mêmes têtes ! Je déteste ces quinze jours toujours identiques, je meurs d’ennui rien que d’y penser. Cette année nous avons remplacé notre vieille toile bleue contre une magnifique caravane pliante. Le seul problème, c’est qu’il faut monter l’auvent, et nous sommes les premiers arrivés, pas moyen d’aller pleurer misère chez le beau-frère ! Mon mari Arthur et moi commençons donc à nous battre avec l’armature, puis la chaleur et la fatigue aidant, nous nous disputons joyeusement. Les traditions sont respectées. De l’autre côté de l’allée, une famille nous observe avec intérêt, puis avec amusement, enfin en riant franchement. Mais ils finissent par avoir pitié, et nous disent : — Venez donc vous rafraîchir, on boit une bière et après on s’y met tous, ça ira vite. Nous faisons connaissance autour d’une bière bien fraîche, ils sont parisiens et nous sympathisons rapidement. Leurs parents sont là avec eux, mais repartent le lendemain, alors que pour nous c’est l’inverse, la smala n’est attendue que deux jours plus tard. Le soir arrive, et les hommes décident de finir de monter l’auvent, alors que les femmes, déclarées incapables restent assises pour les admirer, les encourager, mais surtout pas les conseiller. Ils sont beaux nos hommes, en short, torse nu, couverts de sueur, et ils s’entendent bien, rient, ...
... plaisantent et finissent par avoir raison du casse-tête. — Ah, il faut fêter ça ! Allez les filles, servez l’apéro à vos héros ! Deux apéritifs plus loin, nous partons chercher des pizzas et finissons par manger ensemble. La nuit tombe sur le camping, les beaux-parents partent se coucher, ils ont la route à faire le lendemain. Une heure après, la femme de Pierre déclare forfait à son tour, il ne me reste plus qu’à en faire autant. La fatigue de la route aidant, je suis sûre de m’endormir très vite. Pourtant je suis nerveuse. Je sais que par le passé Arthur a eu quelques aventures avec d’autres hommes. Et il m’a bien semblé que ses yeux étaient posés plus souvent sur Pierre que sur le plan de montage. Bien sûr, il n’y a pas eu de geste équivoque, mais une fois que l’idée trotte dans la tête… J’annonce que je vais me coucher aussi. Les hommes décident de fumer une dernière cigarette, avec une dernière bière. Je ne trouve pas le sommeil. J’essaie d’écouter leur conversation, mais ils ne sont pas très bavards, et la distance m’empêche de comprendre. Puis je les entends se lever, plier et ranger les sièges… — Bon, je vais me coucher, mais je n’ai vraiment pas envie de monter jusqu’aux sanitaires pour pisser !— Oh, il est tard et il n’y a plus personne, les troènes feront très bien l’affaire.— Oui mais de ce côté-ci, sous le lampadaire… Imagine que mes beaux parents ne dorment pas !— Ben on va en face alors, derrière la caravane. J’écarte doucement le rideau de toile de ma chambre, ...