1. Les surprises du camping


    Datte: 19/04/2021, Catégories: hh, fhh, hbi, vacances, facial, Oral hsodo,

    ... doigt s’insinue entre ses cuisses. Arthur se cambre et gémit, le doigt remonte, s’arrête sur la rondelle, puis repart entre les cuisses. Arthur se presse contre lui, frotte sa queue contre la sienne. Il passe sa main entre leurs corps, empoigne leurs deux membres et commence un lent va-et-vient qui les fait haleter et se redresser. C’est maintenant au tour de Pierre de s’agenouiller. Il happe le gland déjà humide, le lèche, en fait le tour d’une langue gourmande, agace la petite fente et recueille quelques gouttes de miel, puis il glisse le long de la hampe, la lèche, la mordille. Sa main prend le relais pendant qu’il lui gobe les bourses. L’excitation les a raffermies, et Pierre les fait rouler dans sa bouche. Son autre main lui caresse l’arrière des cuisses, remonte, et cette fois le doigt s’arrête sur la rondelle pour la masser. Sa bouche s’active sur le membre frémissant, ses lèvres serrées autour montent et descendent. Arthur pousse pour s’enfoncer toujours plus, pendant qu’un doigt s’introduit en lui. Il râle et halète ; il attrape Pierre par les cheveux pour lui imposer son rythme et l’obliger à l’avaler tout entier. Pierre a maintenant deux doigts enfoncés en lui et peu à peu il les fait coulisser de plus en plus vite. Arthur se raidit, il a fermé les yeux. Dans un souffle il dit : — Je viens… La bouche de Pierre se retire de la queue. Il l’empoigne et le branle furieusement pendant que dans son cul ses doigts augmentent encore leur va-et-vient. Le gland cramoisi ...
    ... vient taper sur son visage. De grands frissons montent le long de la hampe, elle gonfle encore et encore, et une grande giclée laiteuse vient s’écraser sur le visage de Pierre. Il continue à le caresser, jusqu’à ce que les jets se tarissent. Arthur se relève et lui nettoie le visage avec ses baisers. Puis il lui dit : — Mais toi ? Pour toute réponse, Pierre l’embrasse goulûment, goutant sa propre semence dans la bouche de mon mari. Il bande plus que jamais. Son gland, gonflé et charnu brille sous la lune. Arthur le prend en main, mais il est hyper sensible, et tressaille. Je vois Pierre parler doucement à l’oreille d’Arthur. Il le prend par les épaules, et le retourne pour le plaquer contre la caravane. Celui-ci n’a pas complètement débandé, et je vois la forme de sa queue s’imprimer en relief dans la toile. Pierre s’est accroupi, sa langue s’affaire sur la rondelle, la mouille, la fouille. Arthur se laisse faire, totalement soumis. À l’intérieur de ma chambre, je ne peux pas résister, et je passe une main sur la bosse que j’ai sous les yeux. La surprise le fait reculer un peu, puis aussitôt il s’écrase à nouveau sur la toile, et j’entends : — Oh oui, vas-y ! À qui s’adresse-t-il ? Aucune importance. Pierre se relève, écarte les fesses de son amant et presse son gland entre ses fesses ouvertes. Je repose la main sur la toile, et trouve sa fraise encore gonflée. Je l’effleure, la presse, tourne autour, et elle se déplace, grimpe, poussée par une queue vigoureuse qui reprend vie. ...