Les surprises du camping
Datte: 19/04/2021,
Catégories:
hh,
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vacances,
facial,
Oral
hsodo,
... et observe mes deux lascars. Ils me tournent le dos, et côte à côte, bien plantés sur leurs jambes, se mettent à pisser dru. Les bières qui ont jalonné la soirée ont bien rempli leur vessie, et j’entends les jets s’écraser longuement au sol. Je comprends vite que je ne me suis pas trompée. Arthur a légèrement tourné la tête, et regarde pisser Pierre avec une lueur dans les yeux que je connais bien. Il a fini, mais ne bouge pas. Arthur s’en est aperçu. Sans bouger, il lui dit : — Elle te plaît ?— Euh, excuse moi, je…— Chut, ne fais pas de bruit, et il désigne la caravane d’où je les observe. À voix très basse, Arthur le rassure, il est sûr que je dors profondément. — Ça ne me gêne pas qu’elle risque de nous regarder, et toi ?— Moi non plus, en fait ça m’excite plutôt.— Ben fais voir alors ! Et il regarde ce qu’Arthur tient toujours dans la main. — Ah oui ! Mais tu bandes on dirait ! Ils se reculent un peu, de façon à ne pas être gênés pas les feuillages. Ils sont bien à l’abri des regards étrangers, seulement éclairés par la lune. Ils se font face à présent, chacun tient son sexe dans sa main. Celle de mon mari est déjà bien droite, et il la caresse lentement. Celle de Pierre par contre, même si elle a gagné en volume, commence seulement à se redresser. Il la garde posée sur sa paume, et la flatte doucement. On voit nettement chaque afflux de sang la rallonger peu à peu, elle tremble et s’étire, puis se soulève par petits à-coups. Arthur tend sa main libre, et la pose sur la ...
... queue de Pierre. Elle frémit plus fort, et gagne encore en volume. Il a refermé sa main autour. Elle est encore souple, et il joue avec elle quelques instants. Il resserre la main, puis la retire pour admirer sa réaction. Il fait un anneau de ses doigts, et le fait coulisser. L’alcool doit sans doute y être pour quelque chose, mais il semble que cette queue aime se faire prier pour se déployer. Et Arthur en a les yeux brillants de plaisir. Il regarde Pierre dans les yeux, puis sa verge toujours encapuchonnée. Il se met à genoux, prend le gland dans sa bouche et le tète. Les veines qui sillonnent la verge gonflent par saccades. Il est maintenant tendu comme un pieu, épais. Pierre pousse son bassin en avant, et s’enfonce dans la bouche de mon mari, puis ressort complètement, et sa queue se dresse à la verticale et vient taper contre son ventre. Son gland est gonflé, charnu, et laisse échapper une larme laiteuse. Pierre se relève. Sa queue bouge toute seule, elle se soulève par saccades. Je le connais bien, il est capable de jouir sans y avoir touché. Ils se rapprochent l’un de l’autre, leurs bouches se trouvent, et leur baiser est lent et profond. Leurs mains explorent leurs corps, faisant naître des frissons de plaisir. Leurs bassins se sont soudés, et je peux voir leurs queues pressées l’une contre l’autre. Ils les écrasent, les font rouler l’une sur l’autre. Pierre a empoigné les fesses d’Arthur pour le sentir encore plus fort contre lui. Sa main glisse le long de sa raie, un ...