L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... ce que la semence trop abondante ne finisse par couler hors de sa chatte. Comme hier soir, j'imagine l'épaisse substance qui envahit peu à peu ses poils pubiens et coule lentement entre le sexe et l'anus. Comme hier, elle me rejette avec force, bondissant du lit elle ramasse autour d'elle sa chemise de nuit en désordre et s'enfuit vers la salle de bains. Comme hier, l'eau coule en abondance, je le sens au bruit émit par la tuyauterie débitant litre après litre le torrent qu'elle recueille dans la vasque du lavabos. J'entends des frottements énergiques, des bruits plus ou moins identifiés d'eau que l'on pompe et que l'on chasse avec un instrument. Elle se saisit de la serviette sur son support, je peux suivre maintenant ses gestes, elle se frotte l'entrecuisse avec énergie et repose la serviette à nouveau. Elle éteint la lumière et ses pas la ramène vers moi, elle est là et se glisse dans le lit, à me toucher. Je suis déjà dur et prêt à recommencer. Maman s'en rend compte quand je me frotte à elle, ma bite contre sa hanche. « Tu as encore envie de moi ? » sa question m'atteint comme un projectile : comment parler d'envie ? et sa question suppose une soumission que je ne soupçonnais pas encore. « Oui » ai-je répondu simplement, déjà je relève sa chemise de nuit, cette fois bien plus haut que son ventre, au delà de ses seins que je découvre et par dessus sa tête pour la lui ôter complètement. Maman est nue contre moi. Je me défais de ma veste de pyjamas et me blottis contre ...
... elle. Sa peau est tendre et douce, je la caresse de mes mains qui vont de son ventre à ses seins. Je prends un des globes dans ma main et le masse doucement, je sens le téton qui durcit contre ma paume, il m'intrigue, je me saisis du bouton de chair entre deux doigts et le palpe avec vigueur. Maman soupire et pousse de petits cris au point que je crois lui faire mal. Je m'en inquiète, lui demande si elle souffre, « non » répond elle avant de soupirer « c'est si bon ! » Je comprends que ma caresse l'excite au plus haut degré et renouvelle ma pression sur son téton. Elle émet de longs râles de plaisir et me tend sa poitrine que je pétris de plus belle. J'avance ma bouche pour me saisir de l'autre bouton de chair et me mets à le sucer avidement. Les cris de ma mère se font plus sonores et plus rauques, il me semble qu'elle perd toute raison et me livre ses seins pour mes massages profonds et prolongés sur les bouts de chair durs qui les couronnes. Ses cris se prolongent pour ne devenir qu'une plainte infinie et animale cependant que son corps est secoué de longs frissons et de ruades désordonnées. Vaguement inquiet, je lâche mes caresses pour la regarder. Elle se calme peu à peu, je viens de faire jouir ma mère par mes caresses, mais je ne le devine pas encore. D'ailleurs, je n'imagine pas tout ce que je pourrai plus tard obtenir d'elle rien qu'en touchant ses seins d'une sensibilité extrême. Pour le moment je suis là contre elle, elle est haletante de sa fièvre et moi j'ai la bite ...