L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... contourne la table pour la prendre par le cou, « Maman je t'aime de toute façon, peu importe la manière ». Je l'embrasse fougueusement sur la joue, elle me serre entre ses bras et nous restons là, enlacés l'un à l'autre, ni mère ni fils ni amants, deux êtres au monde. * C'est ma seconde nuit dans le lit de maman, je l'ai voulu encore plus fougueuse que la précédente qui m'avait prise au dépourvu. Je vais user de ma connaissance embryonnaire pour lui procurer encore plus de plaisir que la nuit d'avant. La nuit d'avant, la nuit où je renaissais des cendres de mon enfance. Maintenant j'avais goûté ce fruit hautement défendu, j'avais franchi ce fleuve que l'on ne franchi pas, j'étais sur la berge interdite, mais libre de mes mouvements, prêt à donner libre cours à cette perverse fantaisie qui allait me saisir. Ma main sur son corps a remonté la chemise de nuit soyeuse jusqu'à dénuder son pubis, ma main part en exploration entre ses cuisses avec la brutalité et l'impatience de mon inexpérience. La respiration de maman est désordonnée, je prends son trouble pour un encouragement et fourrage entre ses cuisses qui s'ouvrent presque sans résistance. Sa fente est chaude et humide comme la nuit précédente, mes doigts s'y promènent et caressent sans vergogne et sans attention particulière. Son souffle est précipité, elle ne dit rien mais son trouble grandissant est une invitation à poursuivre. Je suis dur dans mon pyjama, je défais la cordelette qui le retient à mes hanches et le glisse ...
... jusqu'à m'en défaire. Mon sexe brandit sa gloire au bas de mon ventre, j'enjambe maman et lui monte dessus. Sa peau est douce contre la mienne, nos ventres refont connaissance pendant que mes genoux forcent ses cuisses. Elle s'ouvre et je glisse entre ses jambes ouvertes. Nous sommes sexe contre sexe, je ne m'embarrasse pas de caresses, je pousse mon gland contre la fente. Ses lèvres s'ouvrent, presque sans résistance, je suis déjà profondément en elle et commence mes vas et viens. Mon sexe est dur à me faire mal tandis que je la besogne. Je la sens humide comme hier soir, ma bite plonge en son vagin en grandes secousses, écartant chair et sécrétion dans un clapotis obscène. Floc, floc, floc, au rythme de mes reins déchaînés le son que font nos sexes confrontés retentit à mes oreilles comme une musique dépravée et qui me réjouit. Je redouble mes coups de queues et pistonne vigoureusement le vagin maternel, mon vis y plonge librement avec la férocité du soudard sevré de baise depuis des lustres. Quand les premiers spasmes de la jouissance arrivent, je ne fais rien pour me retenir, je sais que je rebanderai bientôt, plus glorieux et endurant, libéré de ma première charge. Aussi je laisse le flot qui s'annonce monter et envahir le réceptacle profond et humide où je me répands en saccades longues et apaisantes, libératrices et porteuses de félicité. Maman a poussé un « ho » de surprise car elle n'attendait pas mon flot de sperme si tôt. Je l'inonde de liqueur blanchâtre jusqu'à ...