1. L'orage


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ne pense plus à l'attitude de maman de toute la journée. C'est au retour de l'école que je croise à nouveau madame Lefait dans les escaliers, nous nous croisons et je ne sais trop quelle attitude prendre. C'est elle qui se penche vers moi avec un sourire complice et qui me murmure à l'oreille « Mercredi après midi si tu veux tu peux monter me voir, viens vers 13h30 » et elle s'enfuit. Je reste seul dans les escaliers avec cette invitation qui tourne dans ma tête. Le mercredi après midi les enfants de madame Lefait vont rejoindre les scouts et monsieur est bien sur au travail, ce qui fait que madame est seule à la maison. Je me promets de réfléchir sérieusement à sa proposition. Si maman continue ses dérobades, pourquoi n'irai-je pas voir un peu ailleurs ? Maman, je la retrouve comme je l'ai quitté ce matin, ni plus ni moins. Elle a toujours cet air tendu et inquiet que je lui vois depuis deux ou trois jours. Elle me regarde à peine quand je viens l'embrasser et elle fuit toujours toute sorte d'attouchement. La vie à la maison commence à être pesante, elle est si enjouée d'habitude, je ne comprends pas son humeur et je décide de lui demander ce qui la tracasse. « Rien, il n'y a rien » me répond-elle avec un pauvre sourire, mais je sens bien que le cœur n'y est pas. « Je vois bien que tu ne vas pas bien ! » lui dis-je, histoire de lui montrer que je ne suis pas dupe. Elle soupire et regarde ailleurs, je n'en tirerai pas davantage ce soir. Quand à une éventuelle soirée de ...
    ... baise, il n'y faut pas compter d'avantage. Je suis triste moi aussi dans mon lit solitaire à me masturber sous les draps. Heureusement madame Lefait alimente mes fantasmes nocturnes et je jouis de longs traits de sperme en repensant à ce qu'elle m'a fait dans la cave. Et puis, mercredi c'est après demain et je me promets un joyeux après midi en sa compagnie. * J'ai dit que j'allais rejoindre les copains et je suis sorti. Je commence par descendre pour donner le change. Je vais jusqu'à la cave et je remonte. Dans le couloir du rée de chaussée, je croise les enfants Lefait habillés de culotte courte de bleu sombre, le chandail de même, le béret sur la tête, ils vont à leur camps scout. Je les salue avec un brin d'ironie et remonte l'escalier sans bruit. J'ai le cœur battant quand je passe devant notre porte et je continue vers l'étage du dessus. Celui qui a dit que le meilleur de l'amour est lorsque l'on monte les escaliers, ne sait pas à quel point il a raison à cet instant. Lorsque j'arrive sur le palier du dessus, je n'ai même pas besoin de sonner, la porte s'ouvre sans bruit et je vois l'œil de madame Lefait dans l'embrasure. La porte s'ouvre d'avantage et je m'engouffre dans l'appartement. Déjà la porte s'est refermée sur moi et je me retrouve face à elle dans ce couloir sombre. Sans un mot, elle m'a pris dans ses bras et m'embrasse fougueusement en se collant à mon ventre. Je réponds à son baiser et nos langues se mêlent dans nos bouches. Ses mains explorent mon dos quand les ...
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