L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... miennes font de même de ses épaules à ses reins. Cette femme est complètement hystérique, je sens son corps qui tremble sous mes mains. Elle m'entraîne dans ce que je sais être sa chambre puisqu'elle correspond strictement à notre appartement, et nous nous écroulons sur le lit tout en continuant à nous peloter. Je prends connaissance de ses fesses que je sens bien rebondies, plus que maman. Madame Lefait est plus ronde, sa chair est plus plantureuse, peut être un peu plus molle mais plus abondante. Mes mains ne savent où se poser sur ce corps généreux, je palpe ses seins avec frénésie tout en défaisant les boutons de son corsage. Elle me laisse faire, amusée de ma hâte malhabile, et m'aide à la dégrafer complètement. Son soutien-gorge apparaît, mauve et plein de transparences prometteuses. Je suis ébloui par tout ce que je vois, je pelote de plus belle les rondeurs qui s'offre dans le fragile et délicat tissus. J'embrasse aussi la chair tendre et tiède de la poitrine rebondie qui darde vers moi. Je ne peux m'empêcher de comparer les deux femmes que je connais, autant maman me paraît beaucoup réservée quand elle fait l'amour, autant madame Lefait me paraît être bouillante comme un volcan. A peine mes mains se posent elles sur sa peau que je la sens frissonner de la tête aux pieds, comme si je fus le premier à égarer mes paumes sur ses seins. Elle gémit au moindre de mes attouchements et quand je plonge dans son dos à la recherche de l'agrafe de sa jupe, elle cambre les ...
... reins pour me faciliter la recherche. J'ai acquis une certaine dextérité à défaire les jupes de ma mère, celle-ci ne me pose aucun problème et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire madame Lefait est en combinaison aussi mauve que son soutien-gorge et que sa culotte que j'aperçois à travers le tissu léger. Elle porte aussi un porte jarretelles des plus affriolant, c'est le premier que je vois ainsi porté et je le trouve très bandant. Sans plus attendre je lui ôte la combinaison et la voilà en dessous devant moi. « Tu veux que j'enlève le reste ? » me murmure-t-elle, « Non, surtout pas, j'aime bien ainsi ». Elle entame alors mon dé habillage d'une façon carrément sauvage et à plusieurs reprises je dois anticiper le mouvement si je veux sauver mes fringues du désastre. En un clin d'œil me voilà à poil devant une femme qui me dévore des yeux et dont le souffle saccadé traduit la hâte et l'excitation. Sans dire un mot elle plonge vers mon sexe et l'embouche tout comme l'autre jour à la cave. L'émotion et l'excitation font que je décharge rapidement. Madame Lefait ne s'attendait pas à une arrivée aussi rapide et abondante du sperme et je la vois qui s'étouffe aux saccades qu'elle tente de maîtriser. Mais le flot est trop important et le foutre lui coule aux commissures des lèvres, elle essaie encore de déglutir, la liqueur part mal, dans une mauvaise direction et fait éructer la suceuse. Elle s'étouffe, tousse, tousse encore, elle en pleure et le sperme lui sort par le nez. Je ...