1. L'orage


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... plus profond et appuie sur la poire. Elle se raidit car l'eau est froide, mais elle accentue sa pression sur la poire. Je vois l'eau qui jaillit de son sexe, une eau mêlée à une substance blanchâtre qui fait comme une bave au sortir de sa fente, je suis fasciné par le spectacle du sperme qui suit le chemin inverse qui l'a fait entrer là. Elle recommence l'opération trois fois, à chaque fois, le spectacle de sa fente bavant le liquide blanchâtre me subjugue. Après cet épisode, elle prend le gant de toilette et se frotte vigoureusement l'entre jambe pour chasser les traces de sperme qui pourraient y rester encore, mais sa toilette est bien faite et il ne subsiste plus de trace dans le buisson abondant de son pubis noir. Le spectacle intime de ma mère m'a coupé le souffle mais grossi la queue, je l'ai comme un gourdin lorsque je me recouche pour me masturber avec vigueur. Sans plus attendre je libère un jet puissant de foutre qui va se perdre dans les draps car je n'ai pas eu le temps de me préserver. C'est maintenant tous les soirs que j'attends ce spectacle intime, frustré les jours ou mes parents ne font pas l'amour. Traitant presque mon père d'impuissance le jour ou je n'ai pas le droit à la toilette du minou maternel. Cependant, l'opération a quand même lieu plusieurs fois par semaine, et les bons jours je peux y assister deux fois dans la même soirée. Cela restera ma grande fierté, jamais papa n'atteindra trois fois comme je le fis certains soirs, mais j'imagine que maman ...
    ... devait y trouver son compte elle aussi car cela tournait pour elle à la corvée de lavage. * Ainsi passait le temps, entre l'espoir et la volupté du voyeurisme, j'apprenais petit à petit le monde des adultes où je progressais à grands pas. Le mois tirait à sa fin et les couleurs de l'été se faisaient plus chaudes et plus dorée, elles préparaient le mois suivant et la venue de l'automne. Un peu de mélancolie s'installa à la maison, mon père devait partir vers d'autres horizons où, qui sait, l'attendaient peut être d'autres aventures et aventurières. En attendant il faisait ses valises à gestes lents, comme à regret. Il demandait à ma mère « Où as tu mis ma chemise, as tu repassé mon pantalon ? » des questions de voyageur anxieux. * Voilà, il part ce matin, je suis nerveux et impatient. Je m'en veux, je ne devrais pas montrer ces sentiments, aussi je m'applique à m'occuper sans cesse, allant de ci de là, me rendant utile en déployant toute mon énergie à sembler occupé. Nous le conduisons à la gare où nous arrivons en avance. Mon père s'installe dans un wagon et vient nous rejoindre sur le quai. Ce satané train n'en fini plus de fumer et de rester là sans bouger. Nous disons des choses banales, des recommandations, des conseils, des petits mots d'amours. Je m'éloigne et mes parents s'embrassent. Le sifflet vient de retentir, mon père m'embrasse à mon tour et monte le marche pieds. Tout doucement le train s'ébranle, je suis fasciné par ce ralenti comme dans les films. Bouche bée ...
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