L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... je regarde glisser les wagons sur les rails, mon père sourit à la fenêtre et nous lui rendons ses saluts. Le dernier wagon vient de me passer, il se fait un vide soudain tandis que le train diminue et se fait tout petit avant de disparaître dans un virage. Ma mère soupire et efface une larme au coin de son visage, puis elle me prend par la main et nous sortons de la gare. Nous ne disons rien, elle s'installe derrière le volant de la voiture et démarre. Je ne peux m'empêcher de regarder ses jambes découvertes par la robe qu'elle a négligé de remettre en place. Sa peau nue m'attire plus qu'un aimant et j'y poser ma main. Elle ne me rejette pas, juste un mot « Tu ne pers pas de temps ! ». Je ne réponds pas et garde ma main sur sa cuisse le temps du trajet vers la maison. Je caresse doucement la peau tendre sans oser prolonger mon geste, juste mes doigts qui rampent à mis cuisse sur la peau chaude. La voiture s 'arrête au bord du trottoir, maman a repoussé doucement mon poignet au cas ou un voisin nous regarderait. Nous descendons de voiture et montons les escaliers de l'immeuble. Maman me précède et tout à coup il me prend une irrésistible envie d'elle. De voir sa croupe onduler devant moi me provoque une érection brutale et douloureuse qui tend mon pantalon. Par malheur nous rencontrons notre voisine du dessous qui retient ma mère pour un brin de causette. Je passe la tète basse, un peu tourné sur le coté, j'ai l'impression que tout le monde voit ma bite qui tend mon pantalon ...
... de toile. Je monte seul l'escalier, furieux et frustré de ce contre temps. Comme je n'ai pas ma clé, je dois attendre maman sur le palier. Je l'entends qui discute dessous, le babillage des femmes n'en finit plus, elles passent en revue toutes les nouvelles des environs et d'ailleurs. Je vais exploser, je serre les dents, ma queue me fait mal et semble vouloir exploser la toile fine de mon pantalon. Pour comble de malheur, la voisine du dessus descend à son tour, une belle femme celle là, elle me regarde en souriant, elle a vu la bosse de mon pantalon, elle me sourit et me dit aimablement bonjour. Je réponds, conscient que je suis aussi rouge que les pivoines car elle fixe ma braguette tout en descendant les marches. Cette fois elles sont trois pour la causette, j'en ai pour des heures et je crois mourir de dépit. Mais à ma joie profonde j'entends maman mettre un terme à sa discussion et ses pas résonnent à nouveau dans l'escalier. Elle vient à moi, elle lève la tète, elle aussi a vu la bosse qui gonfle mon pantalon. « Tu as mouillé ton pantalon » me souffle-t-elle au passage. Je baisse les yeux effaré pour découvrir une tache qui auréole mon pantalon beige clair, ma confusion est à son comble : madame Lefait la voisine du dessus n'a pas pu ignorer ce détail au passage. Je suis liquéfié de confusion alors que maman ouvre la porte. Je me jète littéralement dans l 'appartement pour cacher ma honte tandis que ma mère referme la porte. Elle se tourne vers moi « Cela presse tant ? ...