L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... les aigus avant de finir en plainte de bête blessée, presque un sanglot. Nous reprenions nos souffles dans une ivresse bien réelle qui nous faisait douter de l'intensité du moment que nous venions de vivre. Je m'étais échoué sur elle, anéanti par la violence de cette éjaculation si irrépressible, la bite encore plantée en son sexe. Elle geignait, tardant à reprendre ses esprits, le souffle court, épuisée et noyée de sperme et de sueur. Sa chemise de nuit était enchifonnée autour de sa taille car nous n'avions pas pris le temps de l'enlever, ses cuisses ouvertes et les bras en croix elle laissait sourdre une plainte légère de ses lèvres. Cela dura peu de temps, comme la veille, elle me rejeta sur le coté et je roulais dans le lit. Elle se leva précipitamment, sans souci de pudeur et sans prendre le temps de rabattre sa chemise de nuit pour s'enfuir vers la salle de bains. Comme la veille, l'eau coula en abondance, longtemps et impétueusement. Je restais une fois de plus les yeux perdus au plafond de la chambre maternelle et paternelle. Les bruits ne me parvenaient qu'à travers le filtre de ma rêverie. J'étais bien inconscient de se qui venait de se produire entre ma mère et moi, et surtout, inconscient du poids qui allait peser sur nos épaules désormais. L'insouciance de la jeunesse allait m'aider à porter le fardeau. Ma mère revint de la salle de bains, comme la veille, elle déposa sur mon front un baiser frais qui me fit revenir à la réalité, puis elle vint s'allonger près ...
... de moi sur le lit défait. Elle me caressait doucement le visage, l'air grave « Qu'avons nous fait mon pauvre petit ? » Je la regardais sans trop comprendre. A mon visage interrogateur elle compris mon ignorance du mal. « Tu sais au moins ce que c'est que faire l'amour ? » me demanda-t-elle. Je hochais affirmativement la tète. « Tu peux donc imaginer les rapports entre un homme et une femme ? » Je hochais à nouveau la tète. « Mais sais tu que ces rapports sont interdits entre une mère et son fils ? » Je la regardais d'un air surpris, alors, que nous était-il arrivé ? « Je n'avais pas le droit de faire l'amour avec toi » me répéta-t-elle. « O maman s'était pourtant si bien et si fort ! » arrivais-je à articuler. « Cela t'a plu ? » Je hochais à nouveau la tète avec frénésie. « Mon amour ! » et elle me repris dans ses bras. « Tu sais, il ne faudra le raconter à personne, cela doit rester un secret entre toi et moi, sinon je risque d'aller en prison » Sa confidence me fit froid dans le dos : ma mère en prison, je ne pouvais imaginer une telle chose, maman, si douce, si dévouée pour moi, aller en prison pour une chose si forte et excitante ? Cela me paressait extravagant. « C'est la loi ! » conclut elle. Je me demandais bien ce que la loi venait faire dans les sentiments et je n'imaginais pas que la loi pu intervenir entre une mère et son fils. « Je ne le dirai à personne, ce sera notre secret ! » Ce disant, je me pendais à son cou que je serrai très fort. « Jamais je ne laisserai ...